Après le passe vaccinal, le passe climatique arrive à grandes enjambées!

Dans leur délire prométhéen de faire de l’Homme un robot, qu’ils nomment abusivement « Homme augmenté », les transhumanistes ont conservé le mot « humaniste », car, soutenaient-ils, leur projet est de « libérer l’Homme de la souffrance, y compris de la mort » – on voit là les ravages de Walt Disney à la sauce bienpensante et de la série « L’homme qui valait trois milliard« …

Plutôt que de se mettre à la pratique intensive du yoga, qui, depuis des millénaires, promet, par la discipline intérieure, d’atteindre tous les bienfaits que la technologie fait accroire qu’un simple implant et un simple clic permettraient d’obtenir, ces faux-losophes ont créé l’Association Transhumaniste Mondiale, ONG militante pour les droits de ces détraqués, sans doute incapables d’essayer la pratique amaroli, mais prêts par contre à se laisser téléguider par une soi-disant intelligence artificielle.

Dans leur larmoyante déclaration, ces névrosés incapables de méditer sur le sens profond de l’existence, proclament qu’il serait « catastrophique » si on ne laissait pas la possibilité à « ceux qui le désirent » d’adopter « à bon escient » les nouvelles technologies. Vingt-trois ans plus tard, l’humanité a pu voir ce qu’il restait de ces revendications fondées sur la liberté de chacun d’expérimenter ce que bon lui semble. Comme ce fut le cas plus tôt de l’école, passant d’un droit à une obligation permettant de mieux laver les cerveaux, cette liberté individuelle de faire n’importe quoi avec son corps et son esprit s’est muée en une obligation de se faire injecter un produit, reposant sur une technologie encore au stade expérimental et dont les résultats jusqu’ici étaient tout sauf concluant, pour des actes aussi anodins que d’aller siroter un café ou aller au spectacle – sans parler bien sûr d’aller au turbin pour avoir de quoi casser la croûte -.

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Nancie Clark, qui préfère se faire appeler Natasha Vita-More, est présidente du conseil d’administration de Humanity+, (à l’origine « World Transhumanist Association »)… Quand vous voyez le résultat, ne vous dîtes-vous pas que, finalement, la mort est une bonne chose?
Une-Societe-sans-ecole

Cette liberté revendiquée à pouvoir devenir un OGM est donc devenu maintenant une obligation que veut nous imposer le Nouvel Ordre Mondial et auquel « personne, je dis bien personne, ne pourra s’y opposer », comme nous avait averti celui qu’on préfère voir après qu’il ait exagéré sur la vodka.

Non, non, cet homme n’est pas saoul, nous explique un journaliste d’enquête du Nouvel Ordre Mondial, qui a reçu les confidences d’un proche du Président, lequel détient évidemment la vérité, alors que nos sens autant physiques qu’intellectuels – non augmentés -, eux, nous trompent, les salauds…

Pour bien s’assurer d’éliminer les réfractaires, rien de mieux que l’utilisation du passe, devenu un objet sécurisant pour toutes ces âmes en errance qui ont accepté l’injection expérimentale par peur de la grippe et du méchant virus – pour reprendre la rhétorique infantilisante des Castex et autres Emmerdeurs à la solde de la clique de Davos.

En quoi cette prestation du ministre de la santé-des-labos devrait me convaincre que moi aussi je dois participer à une expérimentation interdite par le code de Nuremberg et celui d’Oviedo et que même Mengele dans ses rêves les plus sombres n’a jamais osé imaginer?

Pour bien visser dans les cerveaux devenus rats de laboratoire la nécessité d’être possesseur d’un passe à présenter à tout bout de champ, la propagande fanfaronne, au moment pile où le passe vaccinal tombe en désuétude, qu’il faut imposer un passe climatique à celui qui sortira du chapeau de Dominion en avril prochain:

«L’État a exigé des Français une discipline de fer dans la lutte contre une crise sanitaire exceptionnelle et rien ne peut plus justifier aujourd’hui qu’un chef d’État ne s’impose pas la même discipline dans la lutte contre la crise écologique.» D’où l’idée d’une institution indépendante qui délivrerait à l’exécutif ce fameux «passe climatique», après avoir évalué «chaque loi, chaque décret, chaque arrêté, chaque feuille de route stratégique ou chaque engagement international susceptible d’avoir un impact sur la trajectoire française d’émissions de CO2 ou sur l’état de la biodiversité». «En tant que « vigie climatique », cette autorité déterminera à l’aide d’indicateurs fiables si la décision qui est envisagée est bien compatible avec les objectifs français de réduction des émissions de CO2 et de protection de la biodiversité», explique le WWF, ajoutant qu’«un avis négatif pourra amener le juge compétent à déclarer cette proposition irrecevable».

WWF, 20 févier 2022

La légitimité de la discipline de fer du covidisme n’est évidemment pas remise en cause, pas plus que ses conséquences morbides. Car en effet, les bobos qui veulent « sauver la planète » pensent que la nature est tellement mal faite qu’elle a oublié de doter l’Homme d’un système immunitaire. Le fait même que tous ceux qui se prétendent écolos acceptent le discours selon lequel seule une injection au stade expérimental peut sauver la planète d’une grippe qui, à part les personnes âgés de 85 ans et plus, ne touche que ceux qui s’adonnent à la malbouffe, devraient suffire à disqualifier pour toujours cette engeance verte. Celle qui se targue d' »indépendance », avait pour président émérite l’eugéniste Prince Philip, avant qu’il ne poursuivre son oeuvre en se réincarnant en méchant virus. Bref, le WWF est aussi indépendante des décideurs de Davos que le sont les faussaires du GIEC ou que l’on été les médecins de plateau assurant pendant la plandémie que la vitamine D, et les pratiques sportives ne pouvaient servir à rendre le corps suffisamment fort pour traiter sereinement et entre quatre yeux le virus de Wuhan.

Cette montée – aussi soudaine que très calculée – au créneau du WWF n’est ainsi qu’une nouvelle rouerie de l’ingénierie sociale du Great Reset. Elle vise à habituer la population à ce passe qui doit permettre le contrôle social à la chinoise. Ce ne sera bien évidemment pas l’Emmerdeur qui sera contraint par lui, mais tous les Gilets Jaunes qui verront leur droit d’accès au carburant, du moteur comme du ventre, mesuré et limité afin que chacun participe de force aux délires de l’idéologie qui veut sauver la planète – délires apparent, car cela ne sert en fait qu’à faire un pas de plus dans l’avènement de l’Ère du Verseau transhumaniste schwabien et de sa lubie: fusionner l’identité physique, numérique et biologique pour peupler la planète d' »Hommes augmentés », c’est-à-dire des Hommes à qui aura été enlevé tout désir vital qui pourrait les entraver dans leur servitude envers leurs maîtres de Davos.

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La cauchemardesque K. Latombe

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