Ukraine first

Qui peuvent bien servir les politiciens occidentaux dans la chute sans fond dans l’abîme? Trump a été présenté par la toute la classe politico-merdiatique de l’empire en déclin comme un horrible, car son slogan était « America first », ce qui avait pourtant une logique certaine puisqu’il postulait à la présidence étasunienne. Mais qu’elle est donc la priorité des ravagés du bocal qui sont aux commandes dans nos contrées lgbtisées? Après que le ministre de l’économie français, l’idiot qui ne sait même pas ce que représente un hectare, nous eut fait accroire que les sanctions contre les Russes allaient toucher durement le plus grand pays du monde, le pitoyable qui l’a reconduit à son poste a averti son peuple que ces sanctions, ce sont les Français et les Européens qu’elles vont toucher, et que c’est le devoir de ces peuples que de souffrir pour l’Ukraine, même si cela s’est décidé sans leur accord, ni celui du parlement – dont on voit l’inutilité de cette clique grassement payée à jouer à l’opposition de façade. Outre Rhin, la ministre allemande des Affaires étrangères Annalena Baerbock, a affirmé haut et fort, à l’occasion du 26e Forum 2000 Conference à Prague le 31 août:

«Si je promets au peuple ukrainien « nous sommes à vos côtés aussi longtemps que vous avez besoin de nous », alors je veux tenir parole. Peu importe ce que mes électeurs allemands pensent, je veux tenir parole auprès du peuple ukrainien […]. Cela signifie que toutes les mesures que je prends, tiennent tant que l’Ukraine a besoin de moi.»

Source.

Personne ne sera étonné d’apprendre que Baerbock ait suivi les camps de rééducation de Davos. Les ordres viennent évidemment de la clique de l’abominable Schwab. En démocratie, ose-t-elle, on en a rien à battre ni de ce que démos pense, ni de ses conditions de vie:

«Nous faisons désormais face à l’hiver, où nous seront mis au défi, en tant que politiciens démocrates, les gens vont descendre dans la rue et dire « nous ne pouvons pas payer nos factures énergétiques »», a-t-elle ainsi anticipé. «Mais je ne veux pas dire « d’accord, alors nous stoppons les sanctions contre la Russie ». Nous nous tiendrons aux côtés de l’Ukraine, ce qui signifie que les sanctions resterons, également pendant l’hiver. Même si cela devient très difficile pour les politiciens

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