Les chiens de garde du système sont aux abois – ce qui signifie que l’affaire des conséquences dramatiques qu’ont les injections sur des personnes en bonne santé avant de s’être soumis à l’expérimentation bientôt officiellement obligatoire est vraiment brûlante… Il y a peu, on faisait appel au nid d’ « experts » plus que douteux du GIEC pour suggérer en ce début d’hiver glacial que tout cela venait du réchauffement de la planète. Mais une nouvelle fumeuse explication vient d’être proposée par les médias de grands chemins et leurs experts déquonneurs: l’énorme augmentation des maladies cardiaques proviendrait, selon ces fins limiers, certainement pas du contenu que l’on injecte, mais de « troubles liés au stress post-pandémique ».
Quoi qu’il en soit, force est de constater que la catastrophe est telle que la censure n’arrive plus à suivre. Ainsi, le chirurgien Tahir Hussain, qui travaille dans un hôpital du Service national de santé à Londres, a déclaré qu’il avait observé « une forte augmentation des maladies vasculaires liées à la thrombose ». Et de poursuivre: « Des patients beaucoup plus jeunes sont admis qu’avant la pandémie [due aux injections], qui nécessitent des interventions chirurgicales et médicales ».
Les données des services d’urgence écossais montrent que le nombre d’appels d’urgence était supérieur à la normale pendant l’été, avec 500 appels par semaine, surtout dans le groupe d’âge des 15-64 ans, puis cela s’est quelque peu calmé, mais a recommencé à augmenter fin octobre.
Prenons au mot cette allégation selon laquelle ce phénomènes récents de défaillances cardiaques chez les jeunes en pleine santé soit le fruit d’un « stress post-pandémique ». Va-t-on alors enfin stigmatiser et condamner les politiciens, médias de grands chemins et scientifiques sponsorisés par les labos pour avoir généré une panique insensée pour une mauvaise grippe depuis début 2020? En effet, à supposer que le poison que contient l’injection n’y soit pour rien, QUI alors, sinon ces zélotes du transhumanisme, seraient responsables de ce que les « experts britanniques » affirment être une nouvelle maladie appelée « trouble du stress post-pandémique », qui expliquerait la forte augmentation indéniable des nouvelles maladies cardiaques chez les jeunes patients qui se sont soumis l’injection expérimentale?