Ère covide, nouvelle logique (07): « protéger » des enfants qui ne risquent rien!

(i) On le sait maintenant, le covide a tué en 2020 moins que les grippes saisonnières des années précédentes – ça c’était évidemment avant l’avènement du « booster », cet injection qui va propager la véritable pandémie de cette maladie de laboratoire, pour le bien de ceux-ci.

(ii) Monsieur Vax France l’a avoué, l’injection des enfants est non seulement inutile mais dangereuse pour eux; cet acte immoral est justifié par un « impératif mathématique » – dernière invention conceptuelo-satanique venant tout droit de Davos.

(iii)

  • Les injections à ARN-m sont encore toujours en phase de tests;
  • les labos ont fait signer une décharge de responsabilité en cas de pépins – il semble qu’ils savaient à l’avance qu’ils avaient de bonnes raisons pour cela…;
  • la « protection intellectuelle » (brevet) permet aux labos de ne pas exposer ce qu’il y a effectivement dans leur poison – les analyses indépendantes laissent craindre le pire…

Alors pourquoi cette frénésie à nous imposer l’injection en mettant bientôt dans des camps ceux qui s’y soustraient?

Et pourquoi l’Agence européenne des médicaments (EMA) accorde des autorisations pour administrer cette mixture dont on n’a pas le recul suffisant (contrairement à l’artemisia ou à l’hydroxychloroquine) pour protéger des enfants qui n’encourent aucun risque de mortalité s’ils attrapent la mauvaise grippe fomentée à Davos?

La réponse est simple: Pfizer, BioNTech et Moderna engrangent plus de 1 000 dollars de profits par seconde

Pfizer a revu ses perspectives de chiffre d’affaires et de bénéfices annuels à la hausse.

Plus les mois passent, plus les compteurs de ventes s’affolent pour Pfizer. Le laboratoire prévoit d’écouler cette année pour 33,5 milliards de dollars de vaccins contre le Covid-19 développés en partenariat avec l’allemand BioNTech.

C’est bien plus que les 26 milliards de dollars sur lesquels le groupe avait dit tabler en mai, et encore plus que les 15 milliards de dollars estimés en février. À titre de comparaison, le groupe pharmaceutique américain Johnson & Johnson, qui a lui aussi développé un vaccin contre le coronavirus, anticipe 2,5 milliards de dollars de revenus issus de son sérum cette année.

Outre le succès éclatant de l’alliance entre Pfizer et BioNTech, ses concurrents Johnson & Johnson comme AstraZeneca se sont engagés de leur côté à vendre leur vaccin à prix coûtant*, car sinon, la toxicité de leur produit ayant, elle, été révélées, il ne risquerait plus d’en vendre beaucoup; et sans doute que, comme d’habitude, on les donnera, sous couvert de charité, « aux pauvres Africains »… .

Le laboratoire Moderna tablait de son côté en mai sur des ventes annuelles de 19,2 milliards de dollars. «La rapidité et l’efficacité de nos efforts avec BioNTech pour aider à vacciner le monde contre le Covid-19 est sans précédent, avec désormais plus d’un milliard de doses délivrées à l’échelle de la planète», a réagi mercredi le PDG du groupe, Albert Bourla, cité dans le communiqué de résultats financiers du deuxième trimestre. Les « efforts » étant évidemment le graissage de pattes des marionnettes « élues démocratiquement » et autres responsables ciblées, type Emer Cooke de l’Agence européenne du médicament.

Ainsi, grâce aux campagnes de vaccination qui se mettent en place un peu partout dans le monde, le groupe multiplie les contrats, pour 2,1 milliards de doses au total. L’un des derniers en date est la commande vendredi de 200 millions de doses supplémentaires par les États-Unis, portant leurs achats pour le marché intérieur américain à 500 millions.

Les ventes pourraient encore croître, car Pfizer/BioNTech préconise une troisième dose de son vaccin.

*ce n’est déjà plus le cas:

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