Le Verseau, dominé par Uranus et Saturne, est le signe du révolutionnaire qui cherche à renverser le statu quo qui s’est cristallisé dans le Signe qui précède dans le Zodiaque – le Capricorne, du moins, dans son expression inférieure. Pour l’instant, l’humanité subit l’influence de la part sombre des deux Planètes Maîtresses du Verseau – à la fois l’usage avilissant, car sans gardefou, de la technologie uranienne, et les dérives saturniennes dogmatiques et psychorigides qui se transforment en mauvaises farces d’Éric reproduite par toute la propagande officielle, à la manière de ce que faisait la правда, elle qu’on a tellement moquée en Occident… . Or à l’époque, la sanction était le goulag. Aujourd’hui, la simple interdiction d’aller au cinoche si on ne peut présenter un passe cul-air a suffi à convaincre beaucoup de nos contemporain de jouer les cobayes pour engraisser encore les juteux bénéfices des escrocs bien connus que sont les sociétés Pfizer et, la spécialiste du shampoing, Johnson&Johnson – pour ne citer que les deux plus connues de l’Empire mafieux Big Pharma.
À travers Uranus, qui est son Maître ésotérique, le Verseau prédispose à l’utilisation répandue de la technoscience, à la fois innovatrice et plus contagieuse que n’importe quel virus, fusse-t-il sorti d’un laboratoire chinois faisant couverture aux recherches en armement bactériologique financées par le Deep State français via l’institut portant le nom – mal famé, pour ceux qui s’intéressent véritablement à l’histoire de la science – de Pasteur.
La question cruciale, car il est minuit moins deux, est de savoir si l’humanité va laisser quelques « philanthropes » autoproclamés, dont la richesse s’accumule à chaque minute – tu parles de philanthropie! -, utiliser l’IA, les nanorobots connectés à la 5G, et autres joyeusetés du contrôle numérique pour mettre en esclavage 2.0 les réfractaires à l’injection expérimentale et ceux qui n’auront pas succombé à ses effets primaires et secondaires.
Nous vivons en ce moment la période des tribulations dont nous parlait notamment St-Jean dans son Apocalypse. C’est une période qui annonce non seulement l’avènement d’un nouvel Ère – comme ce fut le cas, il y a un peu plus de 2’000 ans, lorsque l’humanité – occidentale tout du moins – est passée de l’Ère du Bélier (Moïse) à l’Ère du Poissons (Jésus Christ), symbole à l’appui! Le changement actuel de mois zodiacal a cependant une signification de la plus haute importance, car le passage de l’Ère du Poisson à celle du Verseau marque en effet aussi un Nouvel An platonicien, soit la fin d’un cycle de près de 26’000 ans, et le début d’un nouveau!
On comprend maintenant mieux tout ce tintamarre à propos de l’Ère du Verseau, car il manifeste effectivement, plus que la fin des Temps – conception propre à ceux qui, depuis le Concile de Nicée, s’opposent avec une angoisse frénétique à l’idée jusqu’alors universelle du karma et de la réincarnation -, la fin d’un Temps. En effet, en vertu de la précession des équinoxes, le Signe qui suit le Poisson est celui du Verseau. Neptune, Maître du Poisson – les pieds du Royaume terrestre – et de Kether – qui en est la couronne! -, représente la formidable énergie de dissolution qui annonce le déluge nécessaire pour préserver le principe vital contre la marchandisation qui croyait pouvoir tout corrompre au point de faire de l’Homme un vulgaire robot, bien moins efficace et fiable que ceux qui sortent des industries de la Big Tech – et c’est pourquoi il était prévu, avant le déluge salvateur, qu’il serve avantageusement de rat de laboratoire pour faire avancer, par sa vivisection, la science transhumaniste.
Les forces de Neptune, qui se manifestent dans les tribulations comme le « travail » dans un accouchement, vont passer un grand coup d’éponge qui permettra à l’humanité de repartir, à première vue, comme de zéro, avec la joie de vivre naturelle et apparemment innocente du nouveau-né. Mais loin d’une tabula rasa, ce nouveau-né est une vieille âme qui revient pour solder son karma à travers la nouvelle année platonicienne qui s’annonce avec le nouvel Âge d’or que symbolise l’Ère du Verseau. Ce long processus de respiration et de maturation sur le très long terme, n’est, relativement à la durée de vie humaine, y compris la durée de vie d’une civilisation, qu’un processus de régression, l’humanité passant de l’Âge d’Or à la l’Âge de Fer (Kali Yuga), en passant par l’Âge d’Argent puis d’Airain. L’univers manifesté, dans lequel la conscience s’élève cependant après chaque nouveau déluge neptunien ramenant un nouvel Âge d’Or, compterait 14 manvantaras. Mais ce n’est pas le lieu ici de méditer plus profondément sur l’enseignement du cycle des Âges et de sa destination.
Nous devons plutôt, dans cette phase de procréation qui ne se fait pas sous les meilleurs auspices, garder les pieds sur Terre et regarder en face l’entièreté du symbole. C’est ainsi que dans cet espoir de l’avènement de l’Ère du Verseau, il ne faut jamais oublier que tout symbole à deux faces – l’une lumineuse sur laquelle on aime bien s’appesantir, l’autre étant simplement la monnaie de la pièce, l’ombre de cette face lumineuse. Pour ceux qui ont le courage et l’honnêteté de regarder les choses sans sombrer dans le sentimentalisme cher au Spectacle, le WEF est un bon exemple de cette face sombre, lui qui peut se prévaloir des caractéristiques qu’on trouve dans les dictionnaires symboliques faisant l’étalage de la beauté du Verseau. Cet attelage ne peut-il pas en effet se targuer de rassembler la crème de la bienpensance et de la sénilité – de Greta Thunberg à Robinet Biden, en passant par les descendants, peu ou prou émancipés de Staline et de Mao (Влади́мир Влади́мирович Пу́тин et 习近平) -, regroupant ainsi virtuellement des milliers de personnes bien intentionnées, organisées en différents groupes affinitaires – Bilderberg, Trilatéral, CFR, Young Global Leaders, etc. -, qui promeuvent l’élévation de la communauté humaine à un stade confraternel sous l’égide d’un gouvernement mondial, le tout dans une exaltation de façade faisant accroire au règne abouti de la coopération honnête et désintéressée grâce à une interaction basée sur une communication bienveillante et non faussée. Bref, le retour du communisme primitif à un stade avancé de l’eschatologie marxienne réalisé par les doux mots de Schwab dans son Great Reset:
Le vicieux coordinateur en chef du Nouvel Ordre Mondial et de son gouvernement s’inspirant d’un passage de l’Idéologie allemande où Marx écrivait que la société communiste à venir arborera comme étendard le précepte suivant:
De chacun selon ses moyens, à chacun selon ses besoins!
Il faut véritablement être tombée dans les abîmes les plus profonds de la perte de toute intelligence pour confondre le communisme primitif avec la soumission à une mafia dont celle qui avait éclos en Sicile ne fut qu’un véritable enfant de cœur par rapport à la puissance luciférienne de la clique de Davos. – Mais c’est là aussi le signe heureux de la fin d’un Temps…
Revenons un instant sur ce que nous avons dit au sujet des deux faces d’un symbole, et méditons sur les caractéristiques typiques du Signe du Verseau à l’aune du fait qu’il est au cœur du Wef, puisqu’il n’est pas seulement le Soleil de son thème natal – en Maison XII… -, mais aussi son Ascendant:
Le véritable travail de groupe, celui qui a permis, par exemple, d’ériger les cathédrales, recèle toute la valeur d’une coopération réelle, dans laquelle les différences ne sont pas effacées, mais encensées, car c’est dans leur biodiversité que germent les manifestations concrètes les plus féeriques du principe vital, qui, bien que paraissant aujourd’hui à beaucoup très abstrait – on point qu’ils sont nombreux à accepter de porter à longueur de journée un masque qui n’a d’autre effet que d’avilir la dignité de l’Homme et affaiblir son immunité naturelle -, réside cependant dans le simple fait de respirer. La face lumineuse du Verseau nous indique la voie pour cette organisation d’un travail collectif non aliénée, non forcée, non hypnotique. Mais avec le WEF, on a affaire à sa face sombre; on a affaire à un mastodonte si puissant qu’il dicte à l’OMS et aux gouvernements du monde sa « vision » – pour le moins égotique du bien de l’humanité – c’est-à-dire du bien pour ces parasites représentant même pas 0,001% de l’humanité, mais possédant 99% de la monnaie de singe dont ils ont organisé la rareté pour les autres, comme le démontrent les incroyables ressources en argent magique qui apparaissent dont ne sait où lorsqu’il s’agit d’acheter les injections poisons!
L’utilisation maléfique – soumission à l’IA des corps connectés par les nanorobots injectés – de la science uranienne propre au Verseau par les oligarchies de la Big Tech relève de la face sombre du Verseau tout en se faisant au nom de sa face lumineuse: c’est en effet sous couvert de la philanthropie et du souci de l’amélioration de la condition humaine que l’on transforme génétiquement les humains pour en faire des robots-esclaves humanoïdes.
Le thème natal du WEF a également ceci de remarquable qu’il présente un puissant Stellium en Sagittaire avec six facteurs astrologiques – Mars, Jupiter, Neptune, Vénus, Lune et le Milieu du Ciel – majeurs dans le Signe mutable de l’Élément Feu. C’est une combinaison gagnante qui permet d’atteindre des idéaux élevés et de prendre de nouvelles orientations pour l’avenir en se fondant avec zèle sur des principes d’une moralité toute relative imposée comme une éthique soi-disant objective et indépassable. Le Sagittaire mal tourné se manifeste en effet dans le zélote – le sombre idiot d’autant plus dangereux qu’il se croit investi d’une mission. Tout dépend donc des saints ou des démons sur lesquels ces principes prennent leur source… Dans le cas du WEF, on voit que Mars et la Lune sont les « serre-livres » de ce Stellium en Sagittaire. Or l’alliance de Mars et de la Lune en ce Signe est propice à engendrer un fanatisme intense, puisque l’inconscient – malléable à merci – représenté par la Lune est en fusion avec Mars qui, en Sagittaire, s’exprime par un attachement émotionnel intense à des philosophies, les transformant en courants idéologiques, lesquels sont à la racine des guerres les plus totales. On voit déjà les zélotes occupés tous les postes de propagation de la religion du covidisme, qui est un fondamentalisme rigide et fanatique, lequel s’est installé, marque de cette époque de décadence profonde qui nous traverse, encore plus facilement que l’on met une lettre à la poste, et parvenant à souiller définitivement aussi bien la religion, la politique que la science.
Dans le thème ci-dessus, on voit également que la Lune est en carré étroit avec Pluton en Vierge, un aspect difficile pour l’utilisation correcte de la discrimination et du discernement; la Lune en Sagittaire aura en effet tendance à broder autour d’idées philosophiques qui exigent de la clarté et de l’humilité – plutôt que cette engeance spectaculaire qui transpire des postures d’un Enthoven, d’un Cohen, d’un BHL, d’un Attali, d’un Lechypre ou encore d’un Jupiter victime d’un détournement de mineur.
Cet aspect, qui peut facilement dominer la complexité d’une configuration astrologique, est par ailleurs en harmonie avec le thème personnel de Schwab, dont le Soleil et trois autres Planètes se trouvent dans le Signe du Bélier, régi par Mars. Cette Lune du thème du WEF, en carré Pluton, est réputé pouvoir être destructrice, émotionnellement intense, voulant tout contrôler, impitoyable, obsessionnelle, compulsive et manipulatrice. Elle est de surcroît en carré avec la Lune Poisson de Klaus Schwab, ce qui augmente encore la possibilité de distorsions émotionnelles et de tromperies, la configuration synastrique des deux thèmes nous donnant un fameux Triangle en T à partir de l’opposition entre la Lune dans le thème de naissance de Schwab et le Pluton du WEF:
On l’aura compris, ces facteurs contribuent au développement d’un fondamentalisme scientifique (scientisme) très puissant et dominant – pièce maîtresse du Dark Vador de Davos et du Forum qu’il a créée, au somment des Alpes pour réveiller l’Homme en allant au bout de sa mission luciférienne. C’est ainsi que via son WEF, Schwab a notamment contribué à la mise en œuvre des Scénarii pour le future de la technologie et du développement international, élaborés par l’eugéniste fondation Rockefeller – pour ne citer qu’une des tentacules de la pieuvre.
On notera que Schwab reçoit en plus, dans son thème natal, le soutien du tout puissant Jupiter dans le Signe du Verseau; sa pieuse Lune en Poisson pouvant lui laisser accroire qu’il agit véritablement en philanthrope…. En tout cas, sa configuration natale laisse entrevoir, si l’on envisage l’interprétation du thème sous son plus mauvais jour, l’avènement d’un escroc maître dans la dissimulation de ses intentions véritables en passant la pommade sous des mots gentils, des flatteries sans retenue et des idées technologiques aussi éblouissantes que farfelues, si ce n’est incompréhensibles:
Dans cette époque de la fin d’un Temps – la fin d’une année platonicienne -, dont le signe immanquable est celui de l’inversion des valeurs, la participation des milliardaires à la mascarade schwabienne est la conséquence de la répétition de ce mantra dystopique, slogan inscrit au fronton de l’ingénierie sociale de Davos – à qui pourtant personne n’a jamais rien demandé et que personne n’a élu à aucune charge:
La pieuvre de Davos s’est occupée directement – et ouvertement! – de la formation des marionnettes qui ont le droit d’occuper des hauts postes politiques dans nos si fameuses démocraties avancées…:
En 1992, Schwab créé l’école Global Leaders for Tomorrow, qui prend le nom, en 2004, de Young Global Leaders. Avant de promouvoir ses pantins les plus idiots, aux mœurs les plus déplorables et dénués de conviction (du genre Trudeau et Macon dont on peut légitimement se demander si leur cerveau n’a pas été lavé par le projet MK-Ultra), Schwab avait sélectionné pour sa toute première promotion de 1992 les figures éminentes du virage néoconservateur (Deep State) suivantes: Angela Merkel, Nicolas Sarkozy et Tony Blair!
Ils sont maintenant quelque 1’300 a arborer le diplôme de l’école luciférienne. Parmi eux, on notera:
- Jacinda Ardern le premier ministre de Nouvelle-Zélande, grande zélatrice du projet délirant « zéro-covide »
- Emmanuel Macron, Emmerdeur-Éborgneur en chef dans la patrie des fameux « Droits de l’Homme »
- Sebastian Kurz, récent chancelier autrichien qui, malgré ce même physique de cinéma de tantouzes, n’a pas si bien réussi que Trudeau ou Macron
- Viktor Orbán, premier ministre hongrois qui parvient à la fois à se faire détester par la bienpensance européolâtre et à appliquer contre son peuple les principes élaborés par les éminences très grises de l’Institut Tavistock…
- Jean-Claude Juncker, comme quoi, même dans une école aussi select et spectaculaire que celle des Young Global Leaders, d’aucuns parviennent à en sortir en se soûlant la gueule du matin au soir
- Annalena Baerbock, la Rousseau – Sandrine s’entend – des Verts allemands
- Gavin Newsom, gouverneur de Californie
- Peter Buttigieg, copie lgbt-etc de Trudeau et Macron, qui s’est présentée au primaire démocrate pour l’élection de 2021
- Bill Gates, à l’époque encore en train de réfléchir à comment faire pour que Microsoft puisse devenir n°1 mondial en se laissant infester par des virus de laboratoire
- Jeff Bezos (Amazon)
- Richard Branson (Virgin)
- Chelsea Clinton
- Source
Tous ces dirigeants suivent le mantra du Forum économique mondial et de sa dictature mondiale s’inspirant du modèle chinois. Les adeptes de ce « nouvel ordre mondial » s’acquittent de leurs tâches avec un zèle inquiétant, comme le démontre Ardern, Trudeau et Macron – peut-être ont-ils déjà la puce implanté, permettant à Schwab de faire jouer la Bête de l’Événement totalement à son gré? Quoi qu’il en soit, ils semblent se délecter de leurs diktats en les savourant – dans la mesure évidemment où les camionneurs et autres gilets jaunes sont tenus à distance respectable… – d’une manière qui semble frôler l’obsession.
D’autres têtes de proue n’ont pas eu besoin du diplôme de l’école schwabienne pour entrer dans le conseil d’administration du WEF. On trouve en effet en son sein Christine Lagarde, ancienne directrice générale du Fonds monétaire international et actuelle présidente de la Banque centrale européenne; la reine Rania de Jordanie – classée par Forbes parmi les 100 femmes les plus puissantes du monde; et Larry Fink, PDG de BlackRock, la plus grande société de gestion d’investissements au niveau international, qui gère environ 9’000 milliards de dollars par an.