L' »opposition parlementaire » ou le faire valoir démocratique de la tyrranie sous Vulcain

Absente de tous les débats essentiels et vitaux – liberté de choisir ce que l’on veut ou pas se faire injecter dans le corps, mascarade sans fondement imposée y compris à ceux qui ont le plus besoin d’oxygénisation (les enfants), guerre décidée par van der Leyen et reprise en France par Vulcain-l’Emmerdeur sans contestation dans l’Assemblée, entrée des drag Queens dans le système éducatif, pédocriminalité au plus haut niveau de la justice et du showbiz y compris politique et la mode (trou de Baal), etc., etc. – les pitres carriéristes, les seuls qui ont le pouvoir de déterminer leur propre salaire, évidemment inversement proportionnel à leur compétence et présence dans l’hémicycle, se querellent au sujet de l’interprétation « nauséabonde » (concept à la mode moralinesque des plus flous et donc des plus fourre-touts – comme « antisémite, « extrémistes », « complotistes », « antivax », etc., etc.) à donner de telle petite phrase entendue dans l’Assemblée ou encore se chamaille dans le jour « c’est moi qui l’ai proposé en premier, alors si maintenant c’est lui qui le dit, je m’y oppose – nan! »

Et dire que même parmi ceux qui ont compris les arnaques covide et climatique, beaucoup ont soutenu cette bêtise, après les législatives, selon laquelle Vulcain avait perdu les élections. Or le parti était clairement vainqueur, même s’il n’avait pas la majorité absolue. Pourquoi celle-ci serait nécessaire, quant les oppositions de pacotille s’opposent l’une contre l’autre pour mieux faire passer « Notre ProjetPensez Printemps, les amis« .

On se souvient que Mélenchon avait mis du temps à accepter les résultats du premier tour en 2017 – ce n’est qu’à 21h50 qu’il s’y plia, là où tous les candidats triés sur le volet par le Système, s’empressent sinon de jouer leur rôle « démocratique » d’avaliser avec des paroles creuses le « choix du peuple » (tu parles, Charles…). Sans doute savait-il avec la remontée réelle des résultats qu’il était en finale contre Fillon ou Le Pen – en tout cas que Vulcain-l’Emmerdeur n’était que quatrième. Mais, celui qui s’est trompé – pour ceux qui veulent y croire – 266 fois de bouton au Parlement européen, attendait de savoir quel rôle allait lui être dévolu dans le casting à venir du renouvellement de l’opposition contrôlée. Avalant la couleuvre jusqu’au bout, il accepta de devenir le chef de la dérive spectaculopoliticienne du LGBTisme avec ses drag Queens comme futures mamies pour les enfants et de se séparer de la branche souverainiste (Kuzmanovic) qui l’avait pourtant portée officiellement à 20% des électeurs dans le sprint final du premier tour en cette année 2017.

Après la trop longue série des motions censure avortées d’avance puisque le rôle des oppositions spectaculaires n’est pas de s’opposer au gouvernement mais simplement de faire croire qu’il y a encore démocratie en la demeure, voilà donc l’énième enjeu de cour d’école sur lequel la gôche est prête à sacrifier les soignants mis en retrait sans solde et sans droit au chômage pour cause de non soumission au diktat lyssenkien dans l’affaire covide:

Alors que les députés du Rassemblement national (RN) vont remettre à l’ordre du jour de l’Assemblée nationale la proposition de leurs adversaires de La France insoumise (LFI) sur la réintégration des soignants non vaccinés contre le Covid… Jean Luc Mélenchon, ancien candidat insoumis à l’élection présidentielle, a tenu à clarifier la situation. «Le groupe LFI retire son texte usurpé par le RN…»

«J’espère que les Insoumis ne rentreront pas dans ce piège à pieds joints», a déclaré de son côté le premier secrétaire du PS Olivier Faure… Il souhaite que LFI «prenne une décision qui permette de ne pas laisser l’idée qu’il puisse y avoir une confusion entre ce qu’est le RN et ce qu’est la gauche», faute de quoi la situation ne serait «pas tenable».  L’idée que le RN puisse reprendre une proposition de loi des Insoumis a provoqué une avalanche de critiques sur tout l’échiquier politique français.

Source.

Si demain il neige, et qu’un député RN oserait affirmer: « Tiens, aujourd’hui il neige! », alors comment imaginé que les autres partis soutiennent qu’il neige effectivement. Mais c’est pareil si c’est LFI qui ose affirmer cet état des choses en premier! Les autres partis ne sauraient reprendre une pareille proposition venant de l' »extrême-gauche »! En attendant, les soignants non-piqués continueront à être les dindons de la farce… Car ils ne font pas partie de la pièce prévue et commanditée par Davos et nécessairement acceptée pour ceux qui veulent faire carrière en politique.

Dans cette pièce autant atroce que dystopique, il y a cette nécessité de faire l’apologie du meurtre des plus démunis. Et les élus RN s’y sont bien tenus, ce qui explique pourquoi ils sont pour la première fois en nombre dans l’hémicycle. À la question sur la constitutionnalisation du droit à l’avortement, ils ont ainsi été, sur 89 députés, 38 à voter pour, 13 à s’abstenir et 15 avaient d’autres chats à fouetter, n’en déplaisent à leur cheffe (qui a voté pour):

Laisser un commentaire