Les femmes pourront donc légalement mettre fin à la vie qui naît en leur sein jusqu’à 14 semaines – et les médecins qui les estiment en fragilités psychosociales pourront se saisir, jusqu’à 9 mois – jusqu’à la naissance donc – du nouveau-né, matière utile pour les besoins en chair fraîche de Big Pharma pour fabriquer les produits destinés aux expérimentations de type mengeléen qui, eux, sont imposées – le droit de chacun de disposer de son corps étant, dans le cas des pseudo-vaccins élaborés par des gangsters réputés, vilipendés, par le narratif dystopique, comme un caprice éminemment égoïste!
Pendant ce temps se déroulait en Suisse, avec un éon de retard, un débat où les soi-disant extrémistes ont perdu à 20 contre 80; ils s’offusquaient que le système de maladie puisse encore maltraiter des animaux pour produire ses poisons – passant à côté du fait que désormais les expérimentations se font immédiatement sur le genre humain et la vivisection sur les fœtus d’icelui!