Comme le dit le transhumaniste enjoué dans la vidéo ci-dessous, l’implant d’une puce – descendante de la fameuse RFID – est réversible, dans la mesure où on peut toujours l’enlever… ce qui n’est pas le cas des nano-robots qui se trouvent dans les injections de Big Pharma!
Bref, la réduction phénoménale de la population mondiale voulue par les transhumanistes de la clique de Davos n’est pas à entendre nécessairement comme l’extermination physique d’icelle, mais, pour ceux qui survivent aux injections expérimentales, à leur transformation en robots humanoïdes téléguidés via les nano-robots, soit des esclaves 2.0 pour les promoteurs de la IVe révolution industrielle.
Par définition, les esclaves, du point de vue des dominants, constituent une sous-classe qui ne saurait briguer des droits humains; ainsi est résolue l’énigme de l’eugénisme qui, d’un certain point de vue, prendrait trop son temps pour qu’on puisse y croire. La déchéance du statut d’être humain à celui de robot humanoïde esclavagisé pourra être soutenu par l’argument de l’absence de discernement de ce dernier, puisqu’il sera sous contrôle des impulsions électromagnétiques de ceux qui lui ont injecté et diffusé les capteurs dans son corps de manière indélébile.
Ainsi, personne ne pourrait acheter ou vendre sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom.
Apocalypse, 13:17.