Les institutions internationales: chasse gardée de groupes privés pour asservir les peuples

La Fondation Bill & Melinda Gates, ainsi que de GAVI The Vaccine Alliance (que la Gates finance également) agissent en tant qu’acteurs non étatiques – comme d’autres: l’IATA (transport aérien), l’Open Society Foundation de Soros, etc. Dans ce contexte, il ne faut pas oublier le rôle de l’Agenda pour la sécurité sanitaire mondiale (GHSA), qui comprend la Banque mondiale, le Consortium pour la sécurité sanitaire mondiale, la table ronde du secteur privé (dont ASTRAZéneca et Johnson & Johnson, entre autres), la John Hopkins Bloomberg School of Public Health, les services web AMAZON et l’OMS elle-même.

Le principal financier est bien sûr celui qui crée les règles, subrepticement, dans le cadre de sinistres stratégies diplomatiques et de l’obscur langage technique international qui caractérise les négociations qui ont lieu dans les institutions de l’ONU. Les mêmes acteurs qui ont infiltré l’organisation pour en prendre les rênes ont également réussi à dissimuler leur comportement et leur modus operandi afin de mettre en œuvre – en collusion avec certains des États les plus puissants – ce qui est annoncé comme une dictature mondiale de la santé. En effet, les règles et limites imposées dans les accords à la participation de ces acteurs n’ont évidemment pas été suivies. Ces acteurs non étatiques agissent à leur guise, en influençant et en s’immisçant dans toutes les décisions et négociations de l’OMS, par le seul poids de leurs importantes contributions financières. On peut dire qu’aujourd’hui, des traités mondiaux contraignants peuvent être imposés d’un simple coup de chéquier par quelques-uns, ouvrant ainsi la voie à la fin de l’indépendance des institutions internationales, de la liberté individuelle dans les décisions de santé et donnant libre cours à l’effondrement de nos souverainetés nationales.

Et cela se produit sous nos yeux en ce moment-même. La rédaction d’un nouveau traité sur les pandémies montre comment l’OMS se transforme rapidement en un organe directeur mondial doté de politiques juridiquement contraignantes, c’est-à-dire en un véritable “État totalitaire mondial de police médicale et [pseudo-]scientifique” – religieux en fait, la Science, comme l’indiquait Paul Feyerabend à la fin des années soixante déjà, ayant pris la place de la théologie. Les politiciens, en collusion avec les acteurs non étatiques de l’OMS, sont fiers de contribuer à dépouiller leur propre pays de sa souveraineté nationale, violant sans vergogne les constitutions de leurs pays respectifs, avec la collaboration des parlementaires soi-disant d’opposition qui les laissent faire en ne surjouant que la chamaille sans envergure dans leur enceinte, plutôt que de rappeler les principes démocratiques aux apprentis tyrans. Ainsi, 194 États membres risquent bientôt de céder leur souveraineté nationale à l’OMS.

Qu’il suffise de rappeler ici quelques-uns des méfaits que ces processus parallèles nous préparent:

  • L’OMS n’aura pas besoin de consulter une nation souveraine avant d’y déclarer une urgence de santé publique; 
  • le directeur général de l’OMS lui-même pourra déclarer de telles urgences et alertes au niveau mondial et l’OMS sera reconnue comme l’autorité d’orientation et de coordination en cas d’urgence; 
  • l’OMS imposera des politiques nationales en la matière qui seront contraignantes pour les pays membres. N’oublions pas que ces politiques comprennent:
    • l’exigence de preuves de vaccination,
    • des restrictions de voyage,
    • la mise en place de quarantaines et de mesure de traçage des citoyens,
    • ainsi que des certificats numériques de santé globale. 
  • En outre, l’OMS pourrait mettre en œuvre un “système d’allocation” pour contrôler les moyens de production des produits pharmaceutiques et faciliter l’accès numérique aux dossiers médicaux privés de chacun, ainsi que faciliter la censure de toute opinion dissidente qui pourrait être considérée comme de la désinformation ou de l’information erronée.

Il y a accord entre ces organismes pour violer les règles du droit international afin de rendre la convention ou le traité sur la pandémie juridiquement contraignant pour les États. Ainsi, selon l’article 18 de la convention de Vienne, la signature d’un traité par un État ne signifie pas automatiquement son entrée en vigueur, car il doit être ratifié par les chambres législatives où s’exerce la souveraineté nationale. Ce ne sera pas le cas cette fois-ci. Nos gouvernants accepteront que le traité soit juridiquement contraignant dès lors qu’il sera approuvé et signé par l’OMS et commenceront à l’appliquer sans qu’il soit nécessaire de le ratifier.

En bref, adieu à nos droits et libertés. En particulier celles qui nous permettent de choisir ou de refuser un traitement, d’exprimer des opinions ou de protéger nos enfants, ainsi que la consécration de la discrimination fondée sur le statut vaccinal. Adieu à la souveraineté sanitaire et bienvenue à la nouvelle dictature qui sera dirigée par un groupe public-privé d’intérêts corporatifs et surtout pharmaceutiques, que nous n’avons pas élu démocratiquement. Bienvenue au coup d’État mondial de l’OMS qui, si nous ne faisons rien pour l’empêcher, mettra en place la première véritable dictature mondiale. Il est vrai qu’il y aura toujours des gens qui soutiendront qu’ils le font pour notre santé et notre bien. Qu’ils le disent à ceux qui ont souffert des confinements anticonstitutionnels de la pandémie, à ceux qui ont été vaccinés avec des risques connus, à ceux qui ont passé le COVID et acquis une immunité naturelle et qui, malgré cela, ont été sauvagement discriminés ou qu’ils le disent aussi à tous ceux qui sont restés bouche bée lorsqu’ils ont commencé à explorer les contrats négociés par la CE avec l’industrie pharmaceutique.

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