VACCINS • Les escrocs passent à table

Par Slobodan Despot

«Je me vaccine pour ne pas tuer grand-mère!» Vous souvenez-vous de cet argument et d’autres chantages émotionnels au nom de la «protection des autres» par le raisinage? Eh, bien ce n’était que des boniments d’escrocs de foire, repris sans vérification par toutes vos autorités politiques et médicales. M. Bourla, le patron de Pfizer, n’ayant pas osé témoigner personnellement au Parlement européen, sa déléguée a révélé le pot aux roses en répondant à une question précise du député Rob Roos (NL): leurs vaccins n’avaient pas été testés au chapitre de la prévention de la transmission.

Ecoutez bien la réponse de la vice-directrice de Pfizer:

«Savions-nous si les vaccins stoppent l’immunisation avant de les mettre sur le marché? Nooon (huhu!) Nous devions vraiment avancer à la vitesse de la science, pour vraiment comprendre ce qui se passait sur le marché

Vous avez bien entendu: stopper l’immunisation et non la transmission! Le lapsus est énorme, mais on laissera à la dondon le bénéfice du trac. Mais ce qui se passait sur le marché — et non dans le corps des patients — n’est pas un lapsus, mais un aveu. La gaffe est colossale. La pauvre sous-fifre envoyée au feu aurait pu mentir, inventer un argument sanitaire, mais elle a perdu ses moyens: elle a dit la vérité. De la santé des gens, il n’est question nulle part!

Arrêter la propagation par la vaccination était pourtant la seule justification du pass sanitaire, mesure discriminatoire qui a brisé des vies et jeté des gens sur la paille.
Les gens qui ont imposé ces piqûres expérimentales à la population au nom d’une protection illusoire et jamais validée devraient être pénalement poursuivis dans tous les pays. Et le patron de Pfizer, qui avoue maintenant que «la technologie des vaccins à ARNm n’était pas suffisamment éprouvée» lorsqu’ils ont lancé le vaccin, doit être jugé par l’histoire aux côtés du Dr Mengele.

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