Les autorités rassurent le FMI – Ne croyez donc rien de tout ce qu’on va vous promettre pendant le spectacle électoral!
Le FMI juge – de quel droit? – le rythme annoncé par le gouvernement trop lent et plaide pour sa part en faveur d’une réduction des dépenses afin de réduire le déficit à 2% du PIB d’ici 2026, ce qu’il juge «politiquement faisable». Mais comment atteindre de tels objectifs? – Et d’où vient sa légitimité pour imposer son plaidoyer? – La France a pris du retard dans plusieurs dossier, note le FMI, – par rapport au plan décidé par QUI? – qu’il s’agisse de la réforme des retraites ou des plans initiaux de l’actuel gouvernement visant à réduire de 120’000 le nombre de fonctionnaires, abandonnés en cours de route face à la contestation des Gilets jaunes et des syndicats, ainsi qu’en raison de la pandémie.
Reprendre ces réformes «contribuerait à l’assainissement» – une variante de l’extermination de masse à la Pfizer? -, selon les auteurs, mais, globalement, «un effort plus important sera nécessaire pour contenir durablement la croissance des dépenses» – QUI décide de cette nécessité? -. Ils notent d’ailleurs que «la réforme des retraites reste incertaine compte tenu de l’opposition sociale» qu’elle suscitera, mais qu’elle reste indispensable – pour QUI? -, affirmant que la France dépense 20% de plus que ses voisins pour les retraites – et alors? -. De la même manière, reprendre l’objectif de diminution du nombre de fonctionnaires nécessiterait de «diviser par deux le taux de remplacement des départs à la retraite» dans la fonction publique – et si le peuple décidait de quadrupler le nombre de fonctionnaire sociaux en les finançant par l’élimination des inutiles: les dépenses insensées de Jean-Michel et de Jupiter, et l’inutilité crasse, comme on l’a vu pendant le covide des 577 parlementaires (mis à part six ou sept)? -. En outre, ils suggèrent de réduire les chevauchements entre les différents niveaux de gouvernement, ce qui «permettrait d’améliorer l’efficacité des services publics tout en générant des économies» – Mais cassez-vous donc tous, y compris vos chevaux! Foutez-nous la paix; dégagez sur Mars avec Musk! -.
Le FMI se dit de manière générale rassuré par la position des autorités françaises, puisque celles-ci «restent convaincues qu’une réforme du système de retraite doit jouer un rôle clé» dans l’apurement des dépenses. Le Fonds salue aussi le fait que «les autorités [françaises] ont réitéré leur engagement à protéger les fonds publics» et qu’elles partagent son diagnostic quant aux réformes à entreprendre. – La messe est donc dite, et il va falloir supporter tout ce spectacle électoral insupportable tellement il ment « les yeux dans les yeux », quel que soit le parti mainstream… – Un tour de vis budgétaire au lendemain de la présidentielle? Mais, évoquant en filigrane la campagne présidentielle en cours, les autorités françaises ont précisé aux représentants du FMI que «les réformes structurelles des dépenses» seront mises en œuvre «après l’entrée en fonction d’un nouveau gouvernement». Il paraît en effet difficile d’annoncer un plan d’austérité en pleine campagne électorale, – mais c’est donc bien ce qui sera mis en oeuvre, que le peuple vote blanc, violet ou marron! – alors que le président sortant n’a toujours pas officialisé sa candidature et a même critiqué les propositions de Valérie Pécresse sur la réduction du nombre de fonctionnaires, après avoir affiché sa volonté en décembre de réformer les critères de Maastricht, à commencer par la fameuse règle qui impose de maintenir le déficit budgétaire en-dessous de 3% du produit intérieur brut – surtout en période de plandémie… tiens: comment se fait-il que lorsqu’il s’agit d’engrosser incommensurablement Big Pharma l’argent magique ruisselle sans discontinuer? -. Le FMI a en tout cas clarifié ses attentes – mais QUI est-il pour oser en avoir? Quelle est sa légitimité? D’où vient-elle? – : «Certains administrateurs recommandent d’éviter de repousser dans le temps de manière excessive les ajustements» des dépenses publiques, afin de parvenir à un «assainissement de grande envergure».
Enfin, s’il approuve le soutien apporté aux ménages vulnérables face à l’envolée des prix tels que l’indemnité inflation versée par le gouvernement, le Fonds critique le plafonnement du prix du gaz et la réduction des taxes sur l’électricité, qu’il juge mal ciblés. L’institution déconseille «l’adoption de mesures de contrôle des prix sur le long terme», et souhaite que ces dispositifs soient limités dans le temps. Un point sur lequel il a également été rassuré, puisqu’il se réjouit des «garanties données par les autorités quant au caractère provisoire de ces mesures».
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