Le Danemark, après l’Angleterre et la Tchéquie, annonce la fin des mesures transhumanistes et inutiles contre la mauvaise grippe issue du labo de Wuhan, qui, malgré son origine artificielle, n’a pu se comporter, une fois échappé dans la nature, autrement que tout virus, c’est-à-dire en mutant constamment, ce qui lui permet de se propager en contaminant toujours plus de personnes, mais, corollaire que les épidémiologistes ont toujours pu vérifier dans les faits, cette propagation rend le virus encore moins dangereux qu’il ne l’a jamais été à force qu’il mute.
Ce n’est évidemment pas ce que les politiques nous racontent. Pour cacher le fait qu’ils ont vendu leur âme aux damnés labos et qu’ils ont torturé et empoisonné physiquement et psychiquement les populations, ils font accroire que c’est la soumission moutonnière de celle-ci à des ordres aussi absurdes et logiquement infondés que dangereux qui permettrait aujourd’hui de lâcher un peu l’étreinte. Dans un pays où près de de 60 % de la population a reçu une injection de rappel avec un mois d’avance sur le calendrier envisagé par les autorités sanitaires, le PM danois s’est ainsi glorifié:
«Nous disons adieu aux restrictions et bienvenue à la vie telle que nous la connaissions avant le corona», a dit, lors d’une conférence de presse, le Premier ministre, Mette Frederiksen. «La forte adhésion au programme vaccinal s’est avérée être ce que nous pensions : une “superarme”, et elle nous a donné une défense solide contre l’infection qui subsiste», a-t-elle justifié. «C’est pourquoi le gouvernement a décidé que le coronavirus ne devait plus être considéré comme une maladie menaçante pour la société», a-t-elle ajouté.
On aimerait bien sûr pouvoir se réjouir de la fin de cet affreux false flag. Mais comme le narratif est encore et toujours à mille lieux de la vérité factuelle, on ne peut que s’attendre à ce que de nouvelles expériences issues tout droit des réseaux mengeléens de MK-Ultra continuent de s’abattre sur la population planétaire divisée entre pros et antis.