On nous bassine matin et soir avec le « devoir de mémoire », mais il semble échapper au plus grand nombre que les camps de quarantaine sont exactement la mesure que le gouvernement allemand, lorsqu’il entra en Pologne, avait pris pour faire face à la propagation du typhus, dont les juifs étaient sensés être les propagateurs asymptomatiques…
Dans l’ingénierie mondiale téléguidée depuis Davos, l’Océanie fait figure du lièvre dans les mesures les plus folles. Selon comment la population là-bas s’y adapte, mais aussi comment la populace dans le reste du monde réagit par rapport à ces nouvelles qui dépassent toutes dystopies, ces mesures seront plus ou moins rognées avant d’être imposées dans le peloton duquel émergera un nouvel État encore plus fou que les autres.
On savait que les camps pour les non-injectés étaient dans les rouages – mais là on a encore mieux pour diviser la population: les camps pour cas-contact. Du haut de gamme de l’ingénierie sociale! En effet, imaginez maintenant un injecté qui va se faire tester et – si si ça existe puisque ce soi-disant vaccin ne protège de rien du tout – et qu’il est déclaré positif au test PCR – dont on ne vous rappelle pas qu’il n’a aucune validité scientifique. Manu militari, cet injecté positif et tous ses cas contacts passent par le camps de quarantaine. Ils auront alors le temps de méditer – par exemple sur comment ils ont bien pu être infecté – ce qui en plus est loin d’être sûr puisqu’il n’y a qu’un cas positif (qui peut être un faux positif!) et les autres ne sont que cas-contact! La doctrine officielle va leur souffler qu’il y a avait sans doute parmi leurs proches et leurs connaissances quelques résistants à l’expérimentation mengeléenne… eh bien, c’est d’une évidence toute dystopique et d’une logique covidienne irréfutable – puisque infondée – que le propagateur de l’infection – ou en tout cas le responsable de leur passage par le camp était un de ces complotistes.
Je vous laisse imaginer la suite, lorsque l’injecté positif, sa famille et ses copains vont pouvoir sortir du camp et rentrer chez eux à la recherche des bouc-émissaires soi-disant responsables de leur internement…