De la dangerosité de l’injection expérimentale: 02. Présence de nanoparticules de graphène dans les «vaccins expérimentaux»

Extraits librement adaptés par mes soins du rapport du Dr Astrid Stuckelberger – Privat-docent de médecine, PhD et Master de Science Scientifique, experte pour l’OMS et I’UE – commandé par Me Jean-Pierre Joseph – 16 septembre 2021. On trouvera toute la bibliographie et les sources du rapport dans le PDF original.

NB: Mis à part le graphène, les analyses ont mis en évidences d’autres substances diversement présentes dans les nouveaux vaccins, tels que des métaux, parasites et éléments pouvant nuire à la santé: l’aluminium,l’acier inoxydable, le bismuth, les capsides de nanoparticules lipidiques parsemées d’oxyde de graphène et un parasite dangereux, le Trypanosoma cruzi.

Le graphène, considéré comme un matériau révolutionnaire est dérivé du graphie cristallin. C’est le matériau à la fois le plus solide de la planète, tout en étant superplastique, magnétique et conducteur. Il a d’énormes applications en médecine, ainsi que dans des domaines non médicaux – une industrie prometteuse de plusieurs milliards de dollars. Outre ses applications supposées pour aider à combattre le cancer par exemple, le graphène intéresse surtout la clique de Davos par ses capacités de jouer le rôle de biomarqueurs. Cependant, les nanoplaques d’oxyde de graphène ont la réputation d’être toxiques: il existe plus de 2’000 études allant dans ce sens; c’est pourquoi il n’a jamais été utilisé sur les humains auparavant. Mais il existe maintenant (15.01.2021) un brevet chinois du Shangaï NAT Engineering Research Center pour un «nano-vaccin recombinant utilisant l’oxyde de graphène comme support».

L’Espagne a été la première à tirer la sonnette d’alarme à propos de la composition des fioles du «vaccin expérimental» Pfizer BioNtech. Le Professeur Pablo Campra de Madrid, docteur en chimie et licencié en biologie, a produit un rapport le 28 juin 2021 dans lequel il affirme y avoir détecté la présence d’oxyde de graphène en suspension aqueuse. L’onde de choc créé par ces analyses sont d’autant plus fortes que le contenu de l’injection, en flagrante opposition avec ce qui constitue le caractère scientifique de tout essai clinique, est maintenu secret par les fabricants – qui ont se sont également déchargés contractuellement de toute attaque si jamais leurs produits auraient des conséquences sur la santé des cobayes.

La conclusion de ces analyses est sans appel:

98 à 99% du contenu des flacons d’injection expérimental correspond à de l’oxyde de graphène; il ne s’agit donc pas d’un vaccin, mais d’une dose de graphène pur directement injectée dans le sang!

Source

Il est intéressant de noter que, selon le Dr Delgado, les conséquences de l’injection du graphène dans le corps corresponde pour l’essentiel aux symptômes attribués au covide au début du déploiement de la «pandémie»; c’est ainsi que l’oxyde de nanographène provoque:

  • une thrombogénicité ou une coagulation du sang dans les veines;
  • l’affaiblissement du système immunitaire;
  • des pneumonies;
  • perte de l’odorat et du goût;
  • des inflammations multiviscérales.

Le graphène est toxique… [qui] provoque des thrombose… [et] des caillots de sang… Il provoque un syndrome post inflammatoire [et] une altération du système immunitaire… [qui génère des] tempêtes cytokiniques. En d’autres termes, quelque chose de très similaire à la maladie à la mode, n’est-ce pas?

Ricardo Delgado, Ph.D.

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