Les suggestions de l’OMS fluctuent selon qui s’en fait son porte-parole. Évidemment, lorsque c’est son abominable directeur Tedros Adhanom Ghebreyesus, criminel de longue date dans son pays d’origine (Éthiopie) déjà, nous avons toute la panoplie des mensonges éhontés du type:
- «la très grande majorité des hospitalisations et des morts sont des gens qui ne sont pas vaccinés, pas des gens qui n’ont pas eu de dose de rappel»;
- «les vaccins restent efficaces contre les variants Delta comme Omicron».
énoncés par le responsable de l’organisation le 22 décembre 2021. Plus c’est gros…
Le gouvernement de l’Emmerdeur-Éborgneur n’est évidemment pas en reste, lui qui ose soutenir la nécessité de maintenir des restrictions sanitaires (parmi lesquelles l’incohérent passe vaccinal) dans le but d’endiguer la pandémie. Le 28 janvier, Le ministre de la Santé-des-Labos Olivier Véran a également réitéré un appel à la vaccination générale pour lutter contre le covide. Pour ce porte-parole spécial de McKinsey en effet, s’il existe parfois des effets indésirables, «ce risque demeure très faible au regard de l’efficacité des vaccins.»
Or les données prouvent exactement le contraire! Celle-ci sont formelles lancent le professeur Raoult en ajoutant que les injections contre le covide «ne marchent absolument pas», si l’on se réfère à l’explosion des cas positifs aux Etats-Unis et en France notamment – comme en témoignent les données de l’université John Hopkins.
Le professeur en tire la conséquence qu’«il n’y a aucun intérêt à vacciner une population qui n’est pas à risque. Aucun, puisque l’épidémie flambe de plus en plus au fur et à mesure qu’on fait des vaccins. On est sorti de la science. C’est de la croyance, de la religion!».
Martelant que le vaccin «n’arrête pas l’épidémie» ni ne présente d’intérêt pour les personnes «qui n’ont pas de facteur risque», le professeur Raoult met en garde contre la volonté de certains de contraindre à la vaccination, en menaçant par exemple de ne plus les soigner: «Quand on veut que les gens vous obéissent alors que ça n’a plus de sens, ça s’appelle le totalitarisme.» «Vous ne pouvez pas foutre les gens en camps de concentration ou les enfermer à la maison, ou faire des camps gigantesques pour maintenir les gens parce qu’ils ne vous obéissent pas. Sinon, vous tombez dans des choses qui nous rappellent une partie de la Deuxième Guerre mondiale», insiste-t-il. «Ce qu’on essaie d’imposer, c’est une opinion. Une opinion de cette nature, quand on menace les gens de ne plus les soigner ou de les enfermer, c’est de la dictature», poursuit-il encore.
Selon Didier Raoult, l’acceptation sociale de ces mesures imposées s’expliquerait par la tendance de l’être humain au conformisme – il cite les expériences de Hash – et à la soumission à l’autorité – expérience de Milgram. Sans oublier le rôle des médias qui «pensent à votre place».
«Je veux féliciter ceux qui résistent et qui payent cette discordance. […] Parce que quand vous n’acceptez pas l’obéissance, on vous menace de tout», conclut le professeur.