«Il faut que les gens finissent par comprendre que le Covid tue», éructe le gouvernement tchèque.
On s’imagine donc qu’on va enfin nous présenter des études comparatives avec – pour une fois – des chiffres non truqués. Il serait intéressant pour pouvoir se faire une idée de savoir, à côté du covide, de quoi meurent les gens et en quelles proportions – y compris les suicidés suite aux mesures liberticides et les morts foudroyantes post-injection. Le gouvernement profitera à cette occasion de nous expliquer pourquoi, lorsque ce genre de drame arrive, il est désormais si difficile de faire des autopsies… . Il nous expliquera aussi pourquoi les personnes en bonne santé doivent prendre le risque d’avoir, suite à l’injection, des thromboses, des myocardites, des péricardites ou encore d’être quasiment paralysé.
Eh bien non, une telle démarche relève du monde d’avant (au moins dans son idéal). Aujourd’hui, pour vous faire comprendre que le covide tue, le gouvernement impose l’injection, sinon vous serez puni et devrez rester bien confiné à la maison.
Les tchèques de passage à Genève pourront, pour montrer qu’ils ont bien compris que le covide tue, profiter de cette promotion qu’aucun humoriste n’aurait osé suggérer:
Mais comme pour les cas de l’Autriche et de la Lettonie, il faut bien comprendre que les décideurs de Davos ont sermonné et menacé les marionnettes de Prague car jusqu’ici la Tchéquie n’allait pas la fleur au fusil dans cette société dystopique. En effet, non seulement 57,6% de la population est entièrement vaccinée contre une moyenne européenne de 64,9%, mais encore la République tchèque avait mis en place des restrictions relativement légères en comparaison avec d’autres pays européens. Le gouvernement s’était alors engagé, par exemples, à ne pas décréter de confinement et ne pas fermer d’écoles.