Le ministre de la santé des labos s’inquiète de ce que la contraception soit en baisse. Une phrase qui, comme de plus en plus souvent chez les politiciens, les journalistes et autres scientifiques richement payés par ces mêmes labos, ne brille pas par sa clarté. Que faut-il entendre par « recul de la contraception »? Est-ce qu’il y a une baisse dans la vente du masque absurde qu’une mode mortifère nous impose, depuis les années 80, de mettre sur le zizi? [À l’époque, contre l’avis du Pape; les temps ont bien changé…] Ou est-ce que les jeunes femmes apprennent-elles de leur ascendance les ravages qu’occasionnent la funeste pilule? Bref, le ministre nous parle-t-il des moyens de contraception ou du passage à l’acte radical que constitue l’avortement que la loi ni-bio ni-éthique permet jusqu’à la naissance du nouveau mort-né si le corps médical juge que la personne en train de vêler est en état de « détresse psychosocial » – encore un terme qui brille par sa clarté, et on voit là toutes les limites du « consentement éclairé« …: face au corps médical; celui-ci n’existe toute simplement pas en face de Mengele 2.0! – ?
Dans tous les cas, le ministre de la santé des labos a ressenti comme une urgence de dilapider encore annuellement 21 millions d’€uros supplémentaires d’argent public – sans consulter évidemment le dit peuple sur la question… -. Décidément, les caisses qui étaient invariablement vides depuis ces mêmes années 80 (tournant de la rigueur), démontrent, depuis l’affaire covide, des ressources qu’un peuple avisé mettrait à contribution pour des projets réellement bioétiques. Encore faudrait-il qu’on soit en démocratie et que le peuple puisse décider, après avoir pris le temps pour consulter tout ce qui est nécessaire, avant de donner son consentement éclairé aux propositions faites par ceux qui ont été choisi par lui pour le représenter.