Celui qui avait concédé que l’injection de la substance expérimentale à ARNm sur les enfants étaient médicalement inutile, mais nécessaire selon un « impératif mathématique » relevant sans doute des dogmes de la nouvelle religion covidique, en remet plus d’une couche par rapport aux masques, sans donner évidemment la moindre étude pour étayer son propos – ce serait difficile, une telle étude n’existe tout simplement pas… – ni nous parler de l’état de santé réel, ici et maintenant, des enfants, puisqu’aucun des critères chiffrés sélectionnés le scientiste délirant ne nous parle de cette réalité: les enfants supportent très bien la contamination covide, par contre les séquelles psychiques provoquées par les législations absurdes et sataniques, elles, sont véritablement catastrophiques.
Le port du masque réduirait «une transmission dans la population qui est aujourd’hui la plus infectée».
«Quand on regarde les taux d’incidence, c’est chez les enfants et ados qu’ils sont les plus élevés».
Soulevant la question de l’impact d’une telle contrainte sur les plus jeunes, le professeur a balayé tout risque en arguant que «les enfants s’adaptent mieux aux contraintes que les adultes en général».
À propos de la fin du passe vaccinal, Alain Fischer s’est montré optimiste: «D’un point de vue scientifique et médical, il faut que le taux d’incidence soit réduit, largement moins de 2 500, au moins dix fois moins, et il faut que la surcharge hospitalière actuelle ait disparu, qu’ils retrouvent leur état de fonctionnement habituel et que les patients non covide puissent être traités. Cela peut aller assez vite».
Alain Fischer