Des tests qui ne servent que la manipulation

En même temps que le responsable du ski allemand, les arcanes de la CAN, qui s’ouvre demain, révèlent son lot de manipulations supposées des tests sensés permettre de déceler des personnes porteuses d’un dangereux virus transmissibles alors même qu’elles n’en ont aucun symptôme – les fameux cas asymptomatiques, legs de la médecine d’État nazie. Il est vrai que le covidisme ayant quitté définitivement tout esprit logique et scientifique, le taux d’amplification maximal du test n’a jamais été révélé (son inventeur affirmait qu’il ne fallait pas dépassé 25 cycles, ajoutant qu’il n’y avait aucun de procéder à ce test, pour lequel il a reçu le prix Nobel, aux personnes ne présentant aucun symptôme) – puisque celui-ci varie en fonction des desiderata des marionnettes choisies par les satanistes de Davos pour emmerder le peuple. Alors voilà ce que ça donne dans le monde spectaculaire – qu’on sera également heureux de quitter au jour prochain de l’Apocalypse:

Le match d’ouverture à Yaoundé le 9 janvier entre le Cameroun et le Burkina Faso sera ainsi particulièrement scruté, d’autant plus que les Burkinabè doivent faire face à l’absence de quatre voire cinq joueurs de leur équipe titulaire pour avoir été déclarés positifs après un test antigénique (et non PCR). L’adjoint du sélectionneur burkinabè a d’ores et déjà critiqué le 8 janvier la méthode et pointé un flou dans l’organisation, expliquant que deux équipes médicales différentes étaient venues tester la délégation. Le capitaine Bertrand Traoré a pour sa part dénoncé «un scandale» : «On ne peut pas nous priver de titulaires à 24 heures du match. Les autorités doivent revoir l’organisation, nous on ne peut pas accepter cette décision.» 

Le match d’ouverture à Yaoundé le 09 janvier 2022 entre le Cameroun et le Burkina Faso sera particulièrement scruté. Les Burkinabés doivent faire face à l’absence de quatre voire cinq joueurs de leur équipe titulaire, qui ont été été déclarés positifs après un test antigénique (et non PCR). L’adjoint du sélectionneur burkinabé a d’ores et déjà critiqué le 08 janvier la méthode et pointé un flou dans l’organisation, expliquant que deux équipes médicales différentes étaient venues tester la délégation. Le capitaine Bertrand Traoré a pour sa part dénoncé «un scandale» : «On ne peut pas nous priver de titulaires à 24h du match. Les autorités doivent revoir l’organisation, nous on ne peut pas accepter cette décision.» 

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