Entraînez-vous à raconter de manière visuelle et captivante toutes sortes d’événements, d’anecdotes, d’histoires courtes, etc. Ne vous arrêtez pas avant de pouvoir les raconter de manière vraiment fabuleuse.
Un bon exercice de concentration: faites un résumé de la journée. Racontez en 5 minutes les principaux événements de votre journée. Veillez à parler avec calme et fluidité.
- Partir de son vécu.
- S’efforcer de raconter avec fraîcheur, impartialité et naturel.
- Utiliser le langage courant.
- On utilisera en général les temps du passé – on n’utilisera le présent que rendre pour des descriptions spécifiques particulièrement vivantes.
- On se tournera directement vers son auditoire.
- Dans le cas d’un long récit, se donner une structure à laquelle on pourra se tenir; se donner un ordre dans les idées qui donne une direction et un but au récit.
- On portera une attention toute particulière au début du récit, qui doit susciter l’intérêt, au point culminant – là où le récit est poussé à son paroxysme, et à la fin du récit, suite auquel l’auditoire est congédié.
- Si de nouvelles idées apparaissent au cours de son discours, on essayera de les insérer dans le texte. Cela présuppose bien sûr une certaine maturité et de la technique fruit de l’expérience.
- On s’échinera à faire passer les petites pauses dues à des oublis, ainsi que les hésitations qui surviennent au cours de l’exposé pour des pauses naturelles – jouant sur le fait que les auditeurs ne remarquent pas tout de suite s’il s’agit d’une véritable pause ou d’un arrêt involontaire. Avec l’expérience, de telles inhibitions du discours ont tendance à se perdre.