Julian Reichelt, le PDG de Bild, LE journal de boulevard allemand, sort du lot des medias mainstream, qui ne sont sinon plus que des agences de publicitaire pour les labos, en en remettant une couche. Après s’être excusé envers tous les enfants pour la gestion de la crise sanitaire, il dénonce dans cette interview l’aburdie dictatoriale qui se met en place en se basant sur des arguments faussement sanitaires. Extraits:
La question n’est pas de savoir pourquoi nous devons nous y conformer. La question est: pourquoi l’État est-il autorisé à nous dicter cela? Et j’ai l’impression que la politique s’est également habituée à cette façon de nous traiter et y trouve du plaisir.
Même vacciné, on doit continuer à se tester, se tester, se tester. Cela signifie, dans la traduction, que la politique ne veut pas montrer une issue à cette pandémie. Elle veut maintenir cet état, dans lequel la chancelière Angela Merkel ou le ministre de la santé Spahn veulent me dire, en tant que personne en parfaite santé, doublement vaccinée, responsable et consciente des risques, ce que je dois afficher sur mon visage.
Et je pense qu’il n’y a plus de raison pour cela et que nous devons nous éloigner de cette vision du monde et de cette vision de l’homme, que nous avons un gouvernement qui est autorisé à nous prescrire des choses insensées comme bon lui semble. Il est urgent de sortir de cette dépendance à l’égard de l’État fort et (entre-temps devenu) autoritaire.
Ces derniers temps, nous entendons encore et encore : beaucoup d’enfants veulent se faire vacciner volontairement. Après avoir dit aux enfants pendant un an et demi : « Si vous ne suivez pas les règles, grand-mère va mourir ! » on ne peut pas sérieusement parler de volontariat.