Mais qu’est-ce qui prouve, bon sang de bon soir, qu’une troisième dose d’une thérapie génique prévue pour le virus pas encore muté soit plus efficace contre le mutant que, par exemple, pisser dans un violon???
En bon commercial, mais piètre scientifique, le milliardaire Albert Bourla, patron du géant pharmaceutique américain, a, de manière tout à fait décomplexée, affirmé que, tout compte fait, les personnes ayant reçu le vaccin de Pfizer contre le Covid-19 auront «probablement» besoin d’une troisième dose d’ici six mois à un an, puis sans doute d’une injection chaque année.
Rappelons que selon l’éthique médicale et notamment le code de Nuremberg, avant de recevoir un traitement, et tout particulièrement un vaccin ou une thérapie génique, le client doit recevoir une information claire, libre et non faussée. Mais comment donc cette information pourrait-elle être claire si tout les trois mois une mise à jour est faite sur le processus du traitement, et qu’en plus celle-ci repose sur des « probablement » et des « hypothèses à confirmer » dont on ne nous donne pas les critères qui les fondent?
Le même jour, pour bien montrer que le pouvoir politique est entre les mains des multinationales, le directeur de la cellule anti-Covid de l’administration Biden a lui aussi assuré que les Américains devaient s’attendre à recevoir un rappel du vaccin, dans le but de les protéger contre les variants du coronavirus. Et le 17 avril 2021, Véran assurait que son gouvernement se préparait à l’hypothèse d’une troisième dose en cas notamment de nouvelles mutations du virus.