Le président suisse confirme que, sur ordre de l’OMS, les chiffres ont été truqué pour effrayer la population!

Adaptation d’un article de Slobodan Despot: «Suisse: le cartel de la peur livre des aveux complets» | Antipresse 323 du 06.02.2022

Le président de la Confédération helvétique, Ignazio Cassis, s’est fendu le 07 janvier dernier d’un aveu effarant que les médias de grand chemin ont aimablement enfoui sous le tapis. Heureusement, Sarah Dohr dans Bon pour la tête l’a intercepté et commenté:

«Dans la rediffusion (ici à 37’43), on peut entendre Brotz s’adresser à Cassis: “Des patients dans les hôpitaux, même s’ils ont été admis pour autre chose, sont appelés patients Covid car testés positifs. Vous n’avez pas vraiment de vue d’ensemble.” A quoi le président de la Confédération répond: “C’est normal. Quelqu’un qui meurt dans un accident de voiture et qui est testé positif est compté comme un décès Covid. Cela dépend de la définition. Des définitions ont été établies dans le monde entier, et elles doivent s’appliquer partout.” Précision apportée par la suite: c’est l’OMS qui a établi cette classification.»

Grâce, entre autres, à cette manipulation comptable, le gouvernement suisse, comme bien d’autres, a entretenu pendant deux ans sa population dans un état de stupeur et de psychose – avec les séquelles psychologiques que l’on connaît, notamment chez les jeunes, à qui les écoles ont été fermées pour des raisons qui n’ont rien avoir avec la santé, comme l’avouait le Monsieur Covid suisse de l’époque, Daniel Koch:

sur le plan épidémiologique, ce n’était pas une nécessité.

Source: 06’20

Il ne s’agissait donc que d’accentuer la peur, permettant la soumission du peuple a toujours plus de contrôle, avec pour modèle à dépasser la Chine et comme feuille de route le programme édicté par le directeur du World Economic Forum, Klaus Schwab, dans son Great Reset.

Et la chroniqueuse de Bon à savoir de s’étrangle de fureur, en se rendant compte que ceux qu’on a affublé de l’anathème de « complotistes » avaient raison depuis le début de cette sordide expérience de contrôle mentale issue des cerveaux malades de lInstitut Tavistok:

«Si cette affirmation de M. Cassis est vraie et que les statistiques hospitalières sont truquées, c’est non seulement un scandale monstrueux, mais cela donnera raison à toutes celles et ceux qui méprisent le monde médical, car aucun médecin, aucune infirmière, aucun scientifique, aucun modélisateur, aucun journaliste médical ne devrait approuver une telle façon de faire. La confiance dans les autorités sanitaires serait dès lors terriblement ébranlée. »

Dès le début de la crise, des analystes ont pourtant lancé l’alerte sur l’information partielle, partiale et anxiogène fournie par les autorités fédérales. Début avril 2020, les enquêtrices de l’organisation Re-Check, Catherine Riva et Serena Tinari dénonçaient la complaisance des journalistes lors des très discutables conférences de presse du gouvernement:

«Les autorités fédérales ne fournissent pas certains indicateurs qui permettraient d’analyser la situation sur les meilleures bases possibles et, malheureusement, dans la grande majorité des cas, les médias ne les leur réclament pas.»

Catherine Riva & Serena Tinari: «Médias suisses et coronavirus: cesser de nourrir la peur», AP227 | 05.04.2020.

Par la suite, les mêmes mettaient aussi en cause la fameuse «Task Force» du gouvernement, dénonçant l’opacité de ses délibérations sans procès-verbal ni motivation scientifique — et, par-dessus tout, l’ineptie de ses «scénarios apocalyptiques» jamais confirmés. Rappelera-t-on à Jens Spahn, le ministre de la santé-des-labos allemand, son incroyable incantation:

« À la fin de l’hiver […] chacun sera vacciné, guéri ou mort »!

Source

Il n’y a donc définitivement rien à attendre de nos autorités, qu’elles soient politiques, médicales, scientifiques ou journalistiques. Toutes sont corrompues jusqu’à la moelle par l’argent facile des labos – puisqu’il est tiré des poches des contribuables! Les annonces de desserrement de l’étreinte qui commencent à pointer sont le résultat, à la fois, d’un déplacement de curseur nécessaire au moment où de plus en plus de personnes se rendent compte de la supercherie; mais c’est aussi l’application du cinquième principe de la charte de Bilderman – un moment d’indulgence accordé aux torturés mentaux, qui n’est qu’une étape dans la poursuite du plan.

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