De la dangerosité de l’injection expérimentale: 01. Mortalité et effets secondaires alarmants selon les sources officiels

Extraits adaptés par mes soins du rapport du Dr Astrid Stuckelberger – Privat-docent de medecine, PhD et Master de Science Scientifique, experte pour l’OMS et I’UE – commandé par Me Jean-Pierre Joseph – I6 septembre 2021

Selon la base de données européenne de pharmacovigilance EudraVigilance, qui couvre 27 pays en Europe (pays non inclus: Albanie, Bosnie-Herzégovine, Suisse, Kosovo, Macédoine, Serbie et Grande-Bretagne) et publie régulièrement les rapports sur les décès et effets indésirables liés au « vaccin expérimental », on peut relever, après 8 mois, des chiffres alarmants:

23’924décès,

2’478’978 effets secondaires (dont, 8’539 adolescents agés de 12 à 17 ans)

27’715 handicaps irréversibles.

Les décès sont liés en grande partie a des désordres vasculaires et respiratoires. À souligner que le nombre d’adolescents rapportant via leurs médecins des effets indésirables est extrêmement élevé alors que ce sont des événements en principe rarissime.

Ces atteintes à la vie sont également relevées aux États-Unis dans le système officiel de rapport d’effets indésirables (VAERS) au 27 août 2021 pour les mêmes produits: après 8 mois, 13’911 décès, ce qui représente pratiquement le double de décès qu’en 35 ans de relevés du système VAERS avec un total de 6’204 décès dus a un vaccin homologue. De plus, 18’098 cas de handicap permanent. Dans les deux cas, le produit Pfizer et Moderna sont les plus dévastateurs. Une analyse publiée le 08 septembre 2021 par Tracy Hoeg et al. à partir de cette banque de données montre que les jeunes de 12 a 17 ans sont exposés à un risque cardiaque (de type myocardite) plus élevé que le risque d’hospitalisation pour COVID-19. Le groupe avec le risque le plus sévère de problèmes cardiaques post-vaccination expérimentale est le groupe le plus jeune des 12-15 ans.

Primum Non Nocere

Ces faits ne pouvant être contestés, il s’ensuit que les conséquences de ce produit sont extrêmement létales. Continuer un « essai clinique » en omettant de considérer sérieusement ces données tend a démontrer une véritable « intention de nuire » à la vie d’autrui, en flagrant délit avec le premier principe d’éthique enseigné aux apprentis soignants: « Primum non nocere » – « d’abord ne pas nuire »!

C’est pourquoi le principe éthique classique des « essais cliniques » est de stopper les recherches expérimentales thérapeutiques dès lors que l’essai atteint à la vie d’autrui et à sa santé. Certaines études ont arrêté l’essai thérapeutique autorisé par la FDA après le premier décès survenu, alors que d’autres experts mettent la barre à un maximum 20 a 50 décès nécessaires pour établir la « dangerosité » du produit testé.

« La limite pour arrêter un programme de vaccin est de 25 a 50 morts: grippe porcine en· 1976, 25 décès, ils ont arrêté. On a 200 rapports de décès en moyenne par an aux US tous vaccins confondus. [Avec les injections covides] nous avons [déjà] plus de 4’000 rapports de morts aux états-Unis!

C’est de loin l’agent biologique le plus mortel, le plus toxique jamais injecté dans un corps humain.« 

Professeur McCullough, cardiologue et professeur de médecine réputé à l’Institut de Baylor (USA).

De quoi immédiatement mettre fin aux injections de « vaccins expérimentaux »!

Prof. Robert Malone, le concepteur de la technologie ARNm, explique qu’après avoir étudié l’effet des « vaccins expérimentaux » durant les 48 heures après I’injection, il a pu mettre en évidence que les protéines Spike se sont non seulement répliquées hors du champs de la zone musculaire d’injection en migrant vers les organes, tissus, parois du système vasculaire et artériels. De surcroît, il a observé que la protéine Spike se propageait vers des récepteurs particulièrement sensibles de l’organisme telles que la moelle épinière (avec risques de cancer) et les récepteurs ovariens (avec risque accru de stérilité). Il affirme par ailleurs que la protéine Spike est dangereuse, biologiquement active et cytotoxique. Même après avoir alerté la FDA (Food and Drug Administration, agence fédérale des médicaments et des aliments aux Etats-Unis), iI souligne que, du fait de la loi d’urgence covide, les procédures d’évaluations n’ont pas été suivies avec rigueur dans le test animal (phase I), puis dans le test humain (phase II et phase III actuelle). Il est question d’une injection recombinante qui utilise une thérapie génique expérimentale dangereuse et cytotoxique. À noter que si le risque à court terme est déjà suffisant pour mettre un terme à l’essai « clinique », le risque à moyen et long terme de ces produits peut s’avérer dramatique, comme le relève par de nombreux scientifiques mondiaux spécialisés, dans les réactions d’un système immunitaire surcharge de protéines Spike dans tous les organes, tissus et système vasculaire.

Des scientifiques soulignent que la protéine Spike distribuée dans tous l’organisme provoque non seulement des effets gravissimes sur le système métabolique, en particulier vasculaire, mais que des décès conséquents sont attendus d’ici I à 3 ans au plus. Pour n’en citer que quelques-uns:

De nombreuses recherches ont démontré qu’il n’y avait aucune utilité ni justification au « vaccin expérimental » et à une « campagne de vaccination mondiale » – bien au contraire; quelques raisons qui font qu’il n’est pas possible d’accepter l’injection:

A) La fiabilité des entreprises – et des décideurs

  1. Les « faiseurs » des « vaccins expérimentaux » se sont déchargés contractuellement de toute responsabilité en cas de pépin après injection de leur produit.
  2. Qui explique encore plus clairement (1.): Le passé sulfureux des compagnies de « vaccins » qui ont déjà payés des sommes phénoménales en dommages et intérêts suite à d’autres substances de leur cru mises sur le marché et qui ont produit décès ou effets indésirables irréversibles.
  3. L’incomplétude des données soumises à la FDA par les « faiseurs de vaccins ».
  4. L’inaccessibilité aux données de base de l’essai clinique.
  5. Fauci et six autres personnes au NIAID possedent des brevets dans le vaccin Moderna
  6. Fauci est sur le bane des accuses pour recherche illegale sur la fonction de gain

B) Le bon sens:

  1. Les nombreux échecs jusqu’à ce jour du développement d’un vaccin contre les coronarvirus, dus au fait que les virus de la famille des Coronavirus sont instables et mutent facilement.
  2. Le« vaccin expérimental» ne stoppe pas la transmission ou l’infection, puisque la population contracte le COVID-19 après avoir été pleinement vaccines.
  3. Le taux de décès général moyen est minime. En effet la CDC compte 99.74% de taux de survie, ce qui fait que 0.026% sont décédés.
  4. L’absence de recul: aucune sécurité a long terme des « vaccins expérimentaux » vus la temporalité des essais cliniques.
  5. Une étude israélienne a démontré que le vaccin est inefficace et que l’immunité naturelle est 13 fois plus efficace pour stopper le variant Delta que les vaccins expérimentaux.
  6. Les vaccins sont inutiles vu que la mortalité n’ est pas surnuméraire en France et dans le monde et que les traitement existent.

C) Le manque de transparence et les cas de manipulation manifestes:

  1. Des tests qui n’ont aucune validité scientifique.
  2. La sous-estimation des décès et effets secondaires, le faible nombre de relevés des effets indésirables et la censure sur les relevés et sur les chiffres prouvant les décès dus au « vaccin expérimental. Selon une étude réalisée par l’Université de Harvard, moins de 1% de toutes Ies réactions indésirables aux vaccins sont en fait soumises au National Vaccine Adverse Events Reports System (VAERS).
  3. L’absence de consentement libre et éclairé, ethique et rigoureux – voire pas de consentement du tout, puisque l’acceptation de se faire injecter un « vaccin expérimental» est obligatoire quasi partout pour avoir une vie sociale.
  4. Censure et absence complète de débat scientifique.

D) Les premières tendances que délivre l’expérience

  1. Les vaccins à ARNm contre la COVID-19 (Pfizer et Modema) provoquent des risques sérieux de myocardite et de péricardite.
  2. Les données suggèrent que la vaccination avec la rMVA exprimant la protéine SARS-CoV S est associée à une hépatite accrue et à une thrombocytopénie avec Pfizer et Moderna.
  3. Transcriptase pollution du génome après « vaccination » avec risques de modification de l’ADN.

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