Ne jamais perdre de vue que la plandémie est un outil au service du Great Reset

Nous reprenons ici l’essentiel du texte produit là-bas, avec quelques variantes de notre cru.

Le monde est actuellement soumis à un processus irréversible de changement historique qui, selon l’expert financier Ernst Wolff, ne peut être inversé. La raison en est que le système financier et économique menace de s’effondrer et ne peut pas survivre sous sa forme actuelle. C’est pourquoi l’élite financière fait actuellement sa mue en mettant tout en œuvre pour établir un nouvel ordre mondial économique préservant, en l’accentuant démesurément, son pouvoir actuel.

Contrairement à ce que disait Hollande, cette clique aux manettes de l’exploitation de la Nature et de l’Homme par l’Homme (QUI?) a un visage et même plusieurs, dont en voici quelques-uns: le WEF de Klaus Schwab (Forum économique mondial qui se réunit annuellement à Davos, mais travaille toute l’année à Cologny près de Genève), la Fondation Rockefeller et la Fondation Bill & Melinda Gates, Georges Soros et sa Fondation Open Society, la famille Rothschild, sans oublier les Megagroupes Blackrock ou Vanguard. Les Banques centrales du monde entier jouent également un rôle important. La réorganisation est présentée sous la forme d’un programme prometteur tel que la « grande réinitialisation » ou l’« Agenda 2030 ».

En réponse à l’effondrement imminent du secteur financier, toutes les grandes Banques centrales du monde travaillent actuellement d’arrache-pied pour introduire un nouveau système monétaire: la monnaie numérique de Banque centrale ou CBDC (Central Bank Digital Currency). Ce système doit exister exclusivement sous forme numérique et être géré de manière centralisée via des comptes auprès d’une Banque centrale. Il n’y aura plus de véritable choix entre les différentes banques ou entre le paiement en espèces ou par carte. Ce système monétaire centralisé et sans alternative sera alors en mesure d’identifier les personnes à tous égards. Par exemple, cet argent peut être doté d’une date d’expiration ou doit être dépensé à des fins spécifiques. Il sera également possible à la Banque de refuser des versements ou des transferts ou de bloquer complètement le compte en cas de « mauvaise conduite » – tel que l’insoumission à l’injonction à l’injection à base d’ARN-m -. Étant donné que les paiements du futur seront effectués par contact avec un téléphone portable ou en scannant un QR code, ce contrôle ne sera pas effectué par l’État seul, mais de plus en plus par les grands groupes informatiques. La vérité sous-jacente de nos soi-disant démocratie – Montesquieu avec oublié dans sa répartition le pouvoir financier, c’est ballot! – éclate au grand jour: les gouvernements sont donc essentiellement des structures relevant de l’économie privée et sans doute pas des représentants du peuple!

Mais, me direz-vous, il est impossible qu’une telle monnaie virtuelle s’impose! C’est ici que la fausse pandémie entre en jeu.

Que se passerait-il si, à la suite des mesures prises face au Covid, l’économie était mise à genoux et que des entreprises, principalement de taille moyenne, faisaient faillite en série, détruisant ainsi des emplois sur une grande échelle ? Que se passerait-il si les caisses de l’État étaient pillées et que les États étaient désespérément surendettés, si le versement des aides était retardé et que le chaos total menaçait ? Si on proposait alors à la population un nouveau système monétaire, combiné à un revenu de base universel, en guise de salut et de nouveau départ, elle l’accepterait très probablement. Les graves dommages économiques et sociaux causés par les confinements pourraient ainsi être habilement utilisés pour mettre en place ce système monétaire obligatoire.

Le projet déjà testé au Soudan et au Kenya

Au Soudan, avec un revenu de base universel de cinq dollars par mois, on tente de mettre en laisse avec le numérique une population partiellement rebelle et fondamentaliste de 32 millions de personnes. La condition préalable à ce revenu de base est l’enregistrement biométrique de chaque bénéficiaire et le paiement par téléphone portable. De cette manière, la population doit être entièrement enregistrée et ensuite contrôlée par téléphone portable. En retirant l’aumône numérique en cas de comportement irrégulier, on peut alors également « l’éduquer » à sa guise. Ainsi, ce qui se cache derrière la façade prometteuse d’un revenu de base universel, ce n’est pas un programme visant à améliorer le monde, mais un plan perfide pour surveiller et contrôler l’ensemble de la population mondiale.

Bienvenue en Chine: ID2020 – surveillance sans relâche et contrôle total au moyen du revenu universel de base et du passeport biométrique

Depuis 2017, l’idée d’un revenu de base universel a été promue entre autres par le Forum économique mondial FEM, la Banque mondiale et la Fondation Bill et Melinda Gates. L’un des objectifs déclarés est « l’inclusion financière » (permettre à tous d’avoir accès aux services financiers). Il ne s’agit toutefois pas de la possibilité d’avoir un compte bancaire individuel, mais d’amener tout le monde « dans le système », comme le définissait déjà en 2015 le responsable de Paypal, Dan Schulman.

Selon les plans de la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, tous les citoyens de l’UE vont recevoir une identité numérique. Elle servira à tout faire dans tous les pays de l’UE sans frais supplémentaires ni bureaucratie, du paiement des impôts à la location d’un appartement. À cette fin, des informations telles que la vaccination et la situation financière, mais aussi des données provenant de Facebook ou du smartphone seront enregistrées. Les données biométriques telles que les empreintes digitales ou les visages serviront de « cartes d’identité », permettant même de voyager sans passeport. Ce qui est présenté à la population au nom du progrès et de la sécurité est cependant la mise en œuvre exacte de l’agenda de la « grande réinitialisation » et de la « quatrième révolution industrielle », les deux derniers ouvrages prémonitoires de Klaus Schwab, promoteur du WEF qui donne le là à tout ce qui fait autorité dans ce monde: multinationales, élites financières et politiques, médias de grands chemins. Selon ce document, l’ensemble de l’humanité devra recevoir une identité numérique uniforme dans le cadre de l’initiative ID2020. Grâce à cette création d’une bases de données centrales supranationales, les multinationales de l’informatique, les services secrets et les autorités policières pourront enregistrer tous les faits et gestes des personnes dans le monde entier et identifier facilement toutes les personnes dont les données seront stockées. ID2020 s’avère donc être un pas de géant vers la surveillance et le contrôle total de l’humanité.

Le CommonPass est dans les rouages: une autorité supranationale privée chargée du contrôle des « citoyens » – du bétail

Afin qu’on puisse à nouveau voyager sans problèmes dans le contexte de la pandémie du Covid-19, la « Commons Project Foundation » soutenue par la Fondation Rockefeller, a annoncé en octobre 2020 le lancement du nouveau « CommonPass », en partenariat avec le WEF. Ce passeport n’est pas un document physique et n’est pas une application au sens propre. C’est comme une méta-application sur un smartphone ; elle utilise toutes les applications des compagnies aériennes, des agences de voyage et des institutions gouvernementales du monde entier pour stocker et vérifier les données des voyageurs de manière standardisée. En d’autres termes, c’est le « CommonPass » qui vérifiera à l’avenir de manière indépendante si les conditions d’entrée sont remplies, et non plus les différents États. En outre, toutes les données telles que les pièces d’identité, l’historique des voyages, les données bancaires ou la reconnaissance faciale et vocale peuvent être intégrées dans le « CommonPass ». Ainsi, le smartphone deviendra à l’avenir un « passeport » extrêmement complet et fonctionnant à l’échelle mondiale, dont l’utilisation pourra être étendue à tous les domaines de la vie. De cette façon, les gouvernements nationaux seront contournés et privés de leur pouvoir, tandis que les grands groupes informatiques qui développent et gèrent le CommonPass deviendront, en quelque sorte, une autorité mondiale privée en matière de passeports. Ainsi, avec ce projet également, la crise du Covid est habilement utilisée pour préparer le nouvel ordre mondial centraliste.

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