L’arnaque des agences FDA (Federal drug administration) et EMA (Agence européenne du médicament)

Vous vous souvenez de l’infox des 95% d’efficacité annoncé par Pfizer et reprise comme une info avéré, alors qu’il s’agissait évidemment que d’un effet publicitaire. Les déquodeurs autoproclamés n’ont évidemment jamais dénoncé ces plages publicitaires se faisant passer pour de l’information.

Dans son émission Les Debriefings du 08 avril 2021, France Soir revient sur la validation des vaccins avec la biostatisticienne Christine Cotton qui a épluché pour son plus grand effarement les données qui ont servi à mettre sur le marché les poisons géniques.

De l’établissement du protocole jusqu’à l’analyse des données, elle a travaillé pour les plus grands laboratoires AstraZeneca, J&J, Roche comme des plus petits. Avec son bagage d’analyste hors pair, elle revient aujourd’hui en détail sur les vaccins contre le coronavirus.  Tout y passe, des protocoles d’études aux résultats en analysant les biais éventuels dans les études.  Des intervalles de confiance avec des échantillons avec zéro quelques patients à des résultats non statistiquement prouvés sur des cas sévères ou des personnes plus âgées, une revue complète en termes simples et compréhensibles.

A sa grande surprise ces résultats ont été approuvés par la FDA (Federal drug administration) et l’EMA (Agence européenne du médicament) – pour elle, habituellement :

« avec des résultats comme cela, c’est retour à l’envoyeur » .

Elle regrette aussi que les agences gouvernementales, pas plus que les médecins, n’aient pas pris plus le temps de lire ces résultats ainsi que les médecins.

Pourquoi se vacciner avec une maladie dont le taux de mortalité est 0,11% et le taux d’incidence de 0,25% à ce jour.  Sachant que celui de la grippe est de 5 à  10% dans la population générale.

Les essais n’ont pas non plus été faits sur des Européens, mais sur des populations qui ont des problèmes de santé en général qui n’on rien avoir avec ceux des Français, car ils vivent sous un autre climat et ont d’autres habitudes culturelles, notamment au niveau de l’alimentation.

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