La pneumologue et lanceuse d’alerte du Mediator, Irène Frachon décrit Guy Vallancien comme l’
«un des fers de lance d’une nébuleuse de médecins de haut rang, professeurs de médecine, parfois académiciens de médecine, qui, depuis des années et sans vergogne, tentent de discréditer, minimiser, voire nier la gravité du drame humain causé par le Mediator».
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C’est sans doute pour ses manques de scrupules et ses liens avec BigPharma que ce criminel fait partie de la commission Bronner mandaté par Jupiter-Micron himself, et qui aura pour objectif officiel de «mesurer les dangers du numérique sur la cohésion nationale et nos institutions afin de mieux y faire face», selon l’un de ses concepteurs. Un rapport est attendu fin décembre, avec des propositions notamment dans le domaine de l’éducation. La censure n’est en effet pas encore assez forte en France, qui applique la stratégie néozélandaise du « zéro covide » à tout ce qui pourrait être en désaccord avec les propos de Macron, le porte-parole de la clique schwabienne de Davos.