Comment fut orchestrée la « pandémie » covide

Par Paul Craig Roberts, modifié par पोल्कोह्लेर्

Récapitulatif

  1. la prétendue « pandémie » fut créée par un test qui produit des faux positifs, exagérant ainsi le taux d’infection.
  2. Le nombre des morts résulta de soins inappropriés, de l’absence de traitement, et du fait que tous les morts furent comptabilisés comme morts du covid.
  3. La peur, intentionnellement amplifiée, servit à pousser des gens crédules et craintifs à accepter des expérimentations qui se révèlent être aussi dangereuses, voire plus, que le virus du covid.
  4. Cette terrible situation ne peut être corrigée, parce que Big Pharma et les autorités sanitaires qui lui sont liées, les scientifiques stipendiés, le personnel médical endoctriné et les pressetitués interdiront la mise en question du discours officiel.

Le virus est réel. Il est dangereux pour des gens dont le système immunitaire est affaibli et pour ceux qui ont des comorbidités. Des gens de tout âge peuvent avoir des défenses immunitaires affaiblies et des maladies graves. Toutefois, les ennuis immunitaires et de santé sont plutôt liés aux personnes âgées car celles-ci, leur vie durant, ont pris de mauvaises habitudes et ont mené une vie malsaine. L’énorme majorité de ceux dont la mort fut attribuée au covid avaient des comorbidités.

Cela dit, les vieillards frappés par le covid avaient encore un taux de survie d’environ 95 %. Pour tous les autres, le taux de survie était de 98 ou 99 %. Il est impossible d’avoir des chiffres précis parce que les données sont faussées pour maximiser le nombre des morts du covid. Les hôpitaux furent incités économiquement à attribuer au covid toutes les morts, pour peu que ces personnes décédées avaient le covid ou bien avaient un test PCR positif. Par exemple quelqu’un mort dans un accident de moto fut compté comme mort du covid parce que son test PCR était positif.

La vraie question est de savoir si les gens dont on dit qu’ils ont eu le covid en sont morts ou bien si leur décès est dû à l’absence de traitement ou encore à un mauvais traitement. Au départ les malades du covid hospitalisés furent branchés sur respirateur et en moururent jusqu’à ce qu’un médecin s’aperçût que les problèmes respiratoires avaient une autre cause que celle qu’on croyait et lança une alerte. D’autres morts du covid furent dus à l’absence de traitement.

Souvenez-vous, on soutenait qu’il n’existait pas de traitement, de là l’urgence de créer un vaccin, alors qu’il y avait deux traitement efficaces, sûrs et bon marché à base d’hydroxychloroquine et d’ivermectine. Ces traitements contrariaient la mise en service d’urgence de vaccins non encore testés et approuvés, et ils furent diabolisés pour le plus grand profit des vaccins de Big Pharma. Ainsi, lorsque vous attrapiez le covid, ils vous renvoyaient à la maison jusqu’à ce que vous tombiez si malades qu’on vous hospitalisait et on vous achevait avec des respirateurs

Autrement dit, nous ne savons pas vraiment si quelqu’un est mort du covid lui-même.

Pour bien comprendre l’énormité de la réussite en Occident du plan révélé par le Great Reset, considérez que dans les pays africains infestés par la malaria, il n’y a pas de covid, pas de masques, pas de confinement. Pourquoi cela? La réponse est que dans ces pays infestés par la malaria, les gens prennent une pilule d’hydroxychloroquine chaque semaine.

Voyez par exemple la Tanzanie. La population de la Tanzanie – 59 734 000 personnes – est considérée à risque du fait de la malaria, 93% des gens vivant dans des zones où sévit cette maladie. En conséquence les gens prennent de l’hydroxychloroquine une fois par semaine en prévention. L’hydroxychloroquine est aussi bien préventive que curative du covid. Dans toute la Tanzanie, du 03 janvier 2020 au 14 juillet 2021, il y eut seulement 509 cas de covid et 21 morts qui se produisirent presque tous en avril 2020.

Comme les tests du covid ne sont pas fiables, on sait qu’ils produisent des « faux positifs », et comme toute personne qui meurt après un test positif est comptabilisée comme morte du covid, nous ne savons pas réellement s’il y a eu un seul cas ou une seule mort du covid en Tanzanie.

Le nombre de cas de covid a été énormément gonflé par les tests PCR. On sait maintenant que plus un test comporte de cycles, plus grand est le taux de faux positifs qu’il détecte, jusqu’à 97%. De nombreux cas bénins et cas asymptomatiques, peut-être la plupart, n’étaient pas réellement des infections par le covid. Je n’arrive pas à expliquer pourquoi un test comporte un nombre de cycles tel qu’il en soit invalidé. La question demeure: le but était-il d’engendrer la peur et la demande d’un vaccin expérimental non testé?

Quand les autorités médicales vous disent que le vaccin est sûr, elles mentent sans vergogne, puisque ni elles ni personne ne le savent, étant donné qu’il s’agit d’une expérimentation génique jamais encore utilisée contre la grippe, utilisée d’urgence sur planète entière en contradiction absolue avec le code de Nüremberg. En fait, le « vaccin«  est testé sur la population mondiale. L’injection anti-covid est appelée un vaccin, mais en réalité c’est une pure technologie qui semble fonctionner comme un système d’exploitation. Normalement, les vaccins sont faits à partir de virus morts ou vivants. Ce n’est pas le cas du « vaccin » du covid.

En réalité nous avons appris que le vaccin n’est pas sûr pour beaucoup de gens, en particulier les jeunes qui ont peu à craindre du virus lui-même. Des pays ont renoncé à utiliser certains vaccins qui produisent des caillots sanguins. Par exemple, l’autorité danoise de santé a renoncé à utiliser les vaccins Johnson & Johnson et AstraZeneca parce qu’ils seraient liés à la formation de caillots sanguins.

Les autorités sanitaires signalent des problèmes d’inflammation cardiaque et de désordres auto-immuns de type Guillain-Barré.

D’éminents scientifiques demandent l’arrêt de la vaccination anti-covid.

Il est essentiel de comprendre que puisque tous les vaccins se fondent sur la même technologie, l’ARNm, ils rencontrent les mêmes problèmes.
Les bureaucrates de la santé ne l’ont pas encore admis mais c’est un fait. Les autorités publiques de santé, s’étant précipitées vers l’utilisation en urgence de vaccins, prétendent que les effets secondaires contre lesquels, à présent, elles mettent en garde, sont « rares ». Mais ces effets ne sont pas rares . Nous savons maintenant que, sauf pour les personnes âgées, le vaccin peut être plus dangereux que le covid (problèmes cardiaques).

Un nouveau variant, le Delta, est apparu, ou prétendument apparu, qu’on utilise pour renouveler la peur et rameuter les non-vaccinés. Les autorités publiques et leurs complices en font énormément sur le variant Delta en dépit du fait qu’il n’a pas encore causé les maladies graves et les morts qu’on associe au covid. On nous dit que le vaccin protège aussi contre le variant Delta, mais Big Pharma demande à son de trompe une injection supplémentaire que n’approuvent pas, jusqu’à présent, ses partenaires de santé à la NIH [National Institutes of Health], au CDC [Center for Disease Control] et à la FDA [Food and Drug Administration].

On peut se demander si le variant Delta, à supposer qu’il existe, est une mutation ou bien une conséquence du vaccin lui-même, ou encore s’il serait la grippe elle-même, qui, comme vous le savez, a disparu, amenant certains à conclure que le covid ce n’est que la grippe. Nous ne pouvons guère progresser dans l’examen et l’évaluation de la situation réelle, parce que le débat public, même parmi les scientifiques, est bloqué. Les scientifiques et les médecins dont les avis diffèrent du discours officiel sont censurés et réduits au silence.

Il y aurait 146 000 cas enregistrés du variant delta au Royaume-Uni, dont la moitié seraient des gens vaccinés; des reportages de ce type, qui s’écartent du discours officiel sont eux-mêmes mis à l’écart des informations.

Non seulement, selon certaines informations, les vaccins ne vous protègent pas, mais selon d’autres, crédibles, ce sont ces mêmes vaccins qui vous nuisent. L’équivalent britannique du VAERS américain est le système Carton jaune mis en œuvre par le Medicines and Healthcare Products Regulatory Agency (MHRA). Des chercheurs du Conseil de médecine factuelle (Evidence-based Medicine Consultancy (EbMC) ont conclu que les vaccins contre le Covid-19 sont « dangereux pour les humains » à partir de rapports sur les effets secondaires. Le directeur du groupe de recherche, le docteur Tess Lawrie, a écrit : « l’ampleur de la morbidité est frappante et met en évidence beaucoup d’accidents en lien avec un grand nombre de maladies. »

Mike Whitney, résumant les faits, note que la protéine Spike dans le vaccin est un agent pathogène mortel.

Tony Fauci, Big Pharma et la propagande médiatique racontent au public que ces sceptiques sont des hurluberlus qu’il faut faire taire. Il y a tant d’éminents scientifiques indépendants et de groupes de recherche médicale qui ont été censurés pour avoir, prétendument, diffusé de la désinformation, que les accusations dirigées contre eux ne sont pas crédibles. Il est impossible que tous ces scientifiques et médecins, hormis ceux qui sont liés à Big Pharma, soient dans l’erreur.

Pour récapituler: la prétendue « pandémie » fut créée par un test qui produit des faux positifs, exagérant ainsi le taux d’infection. Le nombre des morts résulta de soins inappropriés, de l’absence de traitement, et du fait que tous les morts furent comptabilisés comme morts du covid.

La peur, intentionnellement amplifiée, servit à pousser des gens crédules et craintifs à accepter des vaccins expérimentaux qui se révèlent être aussi dangereux, voire plus, que le virus du covid. Cette terrible situation ne peut être corrigée, parce que Big Pharma et les autorités sanitaires qui lui sont liées, les scientifiques stipendiés, le personnel médical endoctriné et la propagande médiatique interdiront la mise en question du discours officiel.

Par exemple, les morts suite au vaccin ne sont pas autopsiés afin de ne pas imputer la mort au vaccin et pour empêcher de savoir comment le virus attaque le corps humain. En fait, le discours officiel, malgré les données du VAERS et du Carton jaune, ne reconnaît pas de décès liés au vaccin, sinon comme « très rares ». En ignorant les preuves qui s’accumulent, Fauci, le CDC, la FDA, et leurs putains des médias peuvent maintenir la fiction selon laquelle les vaccins font plus de bien que de mal. Notez que si c’était le cas, l’argument serait très faible. Cela reviendrait à dire qu’il est bien de mettre en danger des gens afin d’en sauver un plus grand nombre.

Un argument aussi faible ne peut être utilisé pour justifier une obligation vaccinale ou bien des pressions afin d’imposer la vaccination. Les propagandistes de CNN ont leur propre « analyste médical », le docteur Jonathan Reiner, qui déclare à la télévision qu’il est temps d’imposer la vaccination à tous les Américains.

Le président français Macron établit un programme de vaccination obligatoire et de passeport sanitaire.

L’actuel occupant de la Maison-Blanche veut que des agents fassent du porte à porte pour faire vacciner tous les Américains.

Pourquoi ces mesures de type totalitaire contre un virus qui, selon des preuves qui s’accumulent, pourrait être moins dangereux que le vaccin? Que se passe-t-il donc? Comment des femmes pourraient-elles avoir des droits sur leur corps si on les forces à se faire vacciner? Est-ce que la vaccination de masse suivie par des injections de rappel contre des variants en nombre indéfini, est un moyen pour garantir à jamais les profits de Big Pharma? La vaccination obligatoire, les confinements, les masques, ont-ils pour but de mettre fin à l’autonomie individuelle? Le but est-il de répandre des maladies parmi nous, maladies que l’élite utilise pour accéder au pouvoir total? S’agit-il de contrôler la population? Ou bien s’agit-il de nous connecter comme un point nodal sur une matrice de commande?

Pourquoi de telles mesures alors que le traitement par l’hydroxychloroquine et l’ivermectine est disponible et que les morts et les cas allégués du covid furent exagérés afin de répandre la peur?

Pourquoi les scientifiques et les médecins dissidents sont-ils réduits au silence? On a fait sortir la pandémie tout entière du royaume de la preuve. Cela devrait vous dire qu’il y a beaucoup de choses qui ne vont pas dans le discours officiel.

Maintenant nous arrivons au cœur du sujet.

Après avoir pris connaissance de l’information contenue dans le présent article, vous vous rendez compte que vous avez été manipulé conformément à un agenda caché. Vous êtes maintenant prêt à prendre en compte la thèse étayée avec une force convaincante, présentée par le docteur David Martin, selon qui le covid a été intentionnellement diffusé, ce n’est pas une fuite de laboratoire ou un virus naturel de chauve-souris.

Cet aspect de l’histoire est le plus troublant. Le virus fut créé en Amérique et breveté en 2002. Les NIH et les forces armées US étaient parties prenantes du brevet. À la dix-neuvième minute de la vidéo : « Nous, (les États-Unis) avons fait le SARS et l’avons breveté le 19 avril 2002. »

Tous les éléments du covid firent l’objet de 73 brevets avant que n’éclate la prétendue pandémie, c’est-à-dire avant même qu’on s’aperçoive du virus. Allez à la 29-30e minute de la vidéo et écoutez ce qui est dit: « Nous devons accroître la prise de conscience publique de la nécessité de contre-mesures médicales comme un vaccin pan-coronavirus. Les médias sont un facteur déterminant et l’économie suivra le battage médiatique. Les investisseurs suivront s’ils voient une occasion de profit dans l’opération. » Cela fut dit par l’homme dont les recherches sur le gain de fonction du coronavirus furent financées par Fauci au NIH. Notez également que l’UNC (University of North Carolina), le NIAID (National Institute of Allergy and Infectious Diseases) et Moderna ont commencé à fabriquer le vaccin de la protéine Spike avant que n’éclate la pandémie.

Les informations détaillées dans cet entretien en vidéo montrent à l’évidence que le Covid fut intentionnellement diffusé au service d’agendas dirigés contre la santé publique et les libertés civiles.

factcheck.org s’insurge contre les assertions du docteur Martin. Mais les sites de vérification ne sont pas crédibles. Quand ils déclarent qu’ils vérifient les faits, ce qu’ils veulent dire, c’est qu’ils vérifient si les affirmations sont en accord avec le discours officiel du moment. Si ces assertions contredisent ou contestent le discours officiel, elles sont décrétées fausses ou qualifiées de théories conspirationnistes.

Autrement dit, le critère de la « correction » d’une thèse c’est son accord avec le discours officiel. Les vérificateurs factuels ne vérifient jamais le discours officiel. Ce qui veut dire qu’ils en sont les simples exécutants.

Il se peut que l’interprétation et la présentation faite par le docteur Martin des 73 brevets du covid qui furent obtenus par les agences du gouvernement américain et les compagnies pharmaceutiques soient erronées. Toutefois, cela doit être tranché lors d’un débat public tenu par des experts indépendants et non par les exécutants du narratif officiel.

Mise à jour

Souvenez-vous: l’injection contre le covid vous protège.

Les données du VAERS [Vaccine Adverse Event Reporting System] diffusées aujourd’hui par le CDC [Center for Disease Control] montrent un total de 463 467 signalements d’effets secondaires, pour toutes les tranches d’âge, conséquences de la vaccination, dont 10 991 morts et 48 385 atteintes graves, entre le 14 décembre 2020 et le 9 juillet 2021. Souvenez-vous que les chiffres du VAERS ne représentent que 10% des morts et des effets secondaires du vaccin.

En même temps que cette information diffusée par le CDC, l’imbécile qui le dirige fait de la retape pour le vaccin tueur comme étant ce qui assure votre protection.

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